top of page

184 éléments trouvés pour «  »

  • Top des sites e-commerce (classement FEVAD)

    La Fevad et Médiamétrie publient, chaque trimestre, le baromètre de l’audience des sites e-commerce. Celui-ci permet de mesurer, à intervalle régulier, la fréquentation des sites marchands. En octobre dernier, la Fevad et Médiamétrie ont décidé de compléter ce baromètre par une étude ad hoc sur la pénétration des sites de vente en ligne. L’objectif d’une telle étude est de mesurer, pour un marché donné, le poids des principaux sites en fonction du nombre de personnes ayant commandé sur chacun des sites observés. (Extraits) MODE La mode reste le 1er marché e-commerce en France par le nombre d’acheteurs, avec 45% des répondants qui déclarent avoir acheté au moins un produit de la catégorie au cours des 6 derniers mois. Le trio de tête est composé d’Amazon (37,5%), Vente-privée (23,1%) et de La Redoute (15,7%), suivie de près par Showroomprivé. PRODUITS CULTURELS Le secteur des produits culturels, deuxième marché internet en nombre d’acheteurs, voit s’affronter Amazon et Fnac en tête du classement. Les deux sites arrivent largement en tête du classement avec respectivement 62,3% et 42,6% des e-acheteurs. Ils sont suivis de Rakuten qui devance Cdiscount, Cultura et e-bay. RÉSERVATION - HEBERGEMENT Avec plus d’un tiers des cyber-acheteurs clients de la plateforme, Booking occupe la première place du classement, devant AirBnB (24,6%) et Oui Sncf (24,1%) qui arrivent quasiment ex-aequo. Le site d’AccorHotels arrive en 4ème place, assez loin devant la plateforme américaine de réservations Hotels Com PRODUITS ÉLECTRONIQUES - ÉLECTROMÉNAGERS La première place du classement est à nouveau occupée par Amazon (65,5%). Il s’agit de la catégorie dans laquelle Amazon dispose de la plus forte pénétration. Et c’est aussi celle où l’écart entre le leader et ses concurrents est la plus conséquente. Les principaux rivaux d’Amazon s’appellent Cdiscount, Fnac et Darty. Vente-privée vient compléter ce top 5. Les produits électroniques et l’électroménager restent la 4ème catégorie la plus populaire auprès des e-acheteurs (29,7%). ALIMENTATION Sur ce marché, c’est le site E. Leclerc qui fait la course en tête, loin devant ses concurrents. Un quart des acheteurs en ligne déclare avoir commandé sur le site au cours des six derniers mois (25,9%). Amazon se hisse à la deuxième place (15,4%) devant Carrefour. MEUBLES ET DÉCORATION Le secteur du meuble et de la décoration continue de se développer sur internet (19,96). Les deux premières places du Top 10 des sites plébiscités par les internautes pour leurs achats sont occupées par Amazon (27,43) et ikea (16,02) suivi de près par Cdiscount (15,53). La Redoute, se classe en 4ème position et Conforama à la 5ème place. A noter le score de vente-privée qui est à égalité avec l’enseigne spécialisée Maisons du Monde. Pure-players et retailers se partagent à parts égales ce top 10.

  • Les conditions d'utilisation d'Instagram expliquées aux enfants...

    Nous avons beaucoup aimé cet article de Marie Turcan dans Business Insider France qui reprend la réécriture par une avocate des conditions d'utilisation d'Instagram, comme si elles étaient expliquées aux enfants. Et certainement vos enfants ont déjà un compte sur leur réseau préféré. Instructif. Extraits 1. Tu as le droit de te sentir en sécurité quand tu utilises Instagram. 2. Officiellement, tu es propriétaire des photos et vidéos que tu postes, mais nous avons le droit de les utiliser, et de laisser d'autres personnes les utiliser, partout dans le monde. Les gens nous paient pour les utiliser, et nous ne te paierons pas. 3. Tu es responsable de tout ce que tu fais sur Instagram et de tout ce que tu postes, dont des choses auxquelles tu ne t'attends peut-être pas comme ton nom d'utilisateur, tes données et la musique qu'écoutent d'autres gens. 4. On considère que ce tu postes t'appartient, et ce que tu postes ne doit pas enfreindre la loi. Si c'est le cas, tu auras une amende, et tu devras payer cette amende. 5. Même si tu es responsable des informations que tu mets sur Instagram, nous pouvons les garder, les utiliser et les partager avec des entreprises connectées à Instagram. 6. Nous ne sommes pas responsables de ce que font les autres entreprises avec tes informations. Nous ne vendrons ou ne louerons pas tes infos personnelles à d'autres entreprises sans ta permission. 7. Quand tu supprimes ton compte, nous gardons ces informations personnelles sur toi, tes photos, aussi longtemps que raisonnable dans un but financier. 8. Instagram n'est pas non plus responsable pour : Les liens sur Instagram d'autres entreprises ou personnes qu'on ne contrôle pas, même si c'est nous qui t'envoyions ces liens. 9. Même si Instagram n'est pas responsable de ce qu'il t'arrive quand tu utilises l'appli, nous avons beaucoup de pouvoirs: - On peut t'envoyer des pubs ciblées en fonction de tes intérêts, que l'on surveille. Tu ne peux pas nous empêcher de le faire, et ce ne sera pas toujours précisé dans la pub. - Nous pouvons modifier ou supprimer Instagram, ou t'empêcher d'accéder à l'appli, quand on veut, sans que tu soies prévenu-e. - On peut t'obliger à abandonner ton nom d'utilisateur, pour n'importe quelle raison. - Nous pouvons — mais ne sommes pas obligés — de supprimer ou modifier des contenus d'utilisateurs qui enfreignent les règles. 11. Même si tes données ne t'appartiennent pas, les nôtres nous appartiennent. Tu ne peux pas copier-coller les logos d'Instagram ou les autres contenus qu'on crée, ni les modifier, ni les supprimer. 12. Tu peux supprimer ton compte. Si tu le fais, tes photos disparaîtront de ton profil mais si quelqu'un d'autre les a partagées, elles apparaîtront encore peut-être sur Instagram. 13. Nous pouvons modifier ces règles quand on veut en postant une mise à jour sur Instagram, que tu l'aies remarqué ou non.

  • Chauffeur privé change de nom et devient Kapten

    Changement de nom pour la société de VTC chauffeur privé. Créer en 2012, l'entreprise s'appelle désormais Kapten ! Dans son communiqué, l'entreprise écrit "Il y a 7 ans, nous lancions l'aventure Chauffeur Privé. Quel chemin parcouru depuis : 20 000 chauffeurs partenaires, 2 millions de clients en France et à Lisbonne, 250 collaborateurs... Alors ce n'est pas sans émotion qu'aujourd'hui nous faisons tomber la cravate pour devenir : Kapten" Le but de se changement de nom est de renforcer sa présence internationale avec un nom moins français (Chauffeur Privé s'exportant mal) . Déjà à Lisbonne, bientôt à Genève. La société française de voitures de transport avec chauffeur (VTC), dont le groupe allemand Daimler est actionnaire majoritaire, s'est lancée en septembre à Lisbonne, s'apprête à démarrer son service à Genève dans les prochains jours et à Londres dans les prochaines semaines. En France, l'entreprise est active en Île-de-France, à Lyon et sur la Côte d'Azur. Selon Europe 1 : D'ici à 2020, Kapten "prévoit d'atteindre les 10 millions d'utilisateurs, de soutenir sa croissance en ouvrant 15 villes majeures en Europe et à l'international, ainsi que de tripler le nombre de ses chauffeurs partenaires". Daimler, qui possède les marques automobiles Mercedes et Smart, avait racheté fin 2017 une majorité du capital de Chauffeur Privé, avec l'objectif de devenir propriétaire à 100%. Il avait alors proposé un plan d'investissement pour faire de l'entreprise sa plateforme VTC "en Europe et au-delà" afin de concurrencer Uber, le numéro un du secteur.

  • Et si les ondes WiFi se transformaient en électricité pour alimenter nos smartphones ?

    Imaginez un monde où les smartphones, les ordinateurs portables et divers appareils électroniques nomades seraient alimentés sans utiliser de batteries. Des chercheurs du MIT ont fait un pas dans cette direction, avec le premier dispositif flexible capable de convertir les signaux Wi-Fi en électricité. Enerzine.com revient sur cette découverte de chercheurs de MIT. Une technologie qui pourrait bien changer notre vie quotidienne. Les appareils qui convertissent les ondes électromagnétiques en courant continu sont appelés « rectennas ». Les chercheurs font la démonstration d’un nouveau type de rectenne, décrit dans la revue Nature, qui utilise une antenne radiofréquence (RF) flexible qui capte les ondes électromagnétiques – y compris celles qui transportent le Wi-Fi – sous forme d’ondes AC. L’antenne est ensuite connectée à un nouveau dispositif constitué d’un semi-conducteur bidimensionnel de quelques atomes d’épaisseur. Le signal AC circule dans le semi-conducteur, qui le convertit en une tension continue afin d’alimenter des circuits électroniques ou recharger des batteries. De cette façon, l’appareil sans batterie capture et transforme passivement les signaux Wi-Fi omniprésents en courant continu utile. De plus, l’appareil est flexible et peut être fabriqué sous forme de couches minces pour couvrir de très grandes surfaces. Les premières applications prometteuses proposées comprennent l’alimentation en courant d’appareils électroniques souples et portables, des dispositifs médicaux et de capteurs pour « l’internet des objets ». Les smartphones flexibles, par exemple, sont un nouveau marché en vogue pour les grandes entreprises technologiques. L’appareil conçu par les chercheurs peut produire environ 40 microwatts de puissance lorsqu’il est exposé à des niveaux de puissance typiques des signaux Wi-Fi (environ 150 microwatts). C’est plus que suffisant pour éclairer un simple écran mobile ou des puces de silicium.

  • 28% des français veulent se mettre à leur compte, mais...

    Le Figaro revient sur ce sondage Opinion Way concernant les français, et leur volonté de créer une entreprise... Extraits > Ils sont 28% à vouloir être à leur compte mais 57% estiment que la protection sociale des travailleurs indépendants est insuffisante, selon un sondage OpinionWay publié quelques jours avant le Salon des Entrepreneurs. Plus d'un Français sur quatre (28%) a envie de sauter le pas pour créer, reprendre une société ou de travailler à son compte, d'après un sondage OpinionWay pour l'Union des autoentrepreneurs et des travailleurs indépendants et la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires, publié avant le Salon des entrepreneurs qui se tiendra à Paris les 6 et 7 février. La moitié de ces potentiels entrepreneurs souhaite créer son entreprise tout seul. L'attrait pour la microentreprise - dont les plafonds de chiffres d'affaires autorisés ont été doublés au 1er janvier dernier - a d'ailleurs été observé l'an dernier (+28% de créations en un an). Les Français sont toutefois moins enthousiastes que certains de leurs voisins européens. Plus de la moitié des Espagnols (55%) et des Britanniques (51%) interrogés expriment le désir d'être à leur compte. Les Français sont aussi moins pressés. Seulement la moitié envisage de se lancer dans les deux ans à venir, alors qu'en Espagne ou en Allemagne, ils sont plus des deux tiers à se projeter dans ce laps de temps. Malgré tout, le salariat garde le vent en poupe. 63% des Français interrogés - parmi des actifs, lycéens et étudiants - souhaitent travailler en tant que salarié, uniquement. Ils sont 66% au Royaume-Uni et même 71% en Allemagne. Le statut de travailleur indépendant ou d'autoentrepreneur est surtout considéré comme un moyen de se créer un emploi, pour 88% des Français (92% des Espagnols et 93% des Allemands et Britanniques). En France, seulement 53% considèrent qu'être à son compte peut permettre de bien gagner sa vie. Les principaux freins à l'entreprenariat? Le manque de couverture sociale est cité dans tous les pays comme la principale difficulté (52% en France, 49% au Royaume-Uni, 66% en Allemagne et 76% en Espagne), devant la gestion complexe des procédures administratives ou la difficulté à obtenir un crédit. En France, le gouvernement a engagé depuis le 1er janvier 2018 une réforme de la couverture sociale des travailleurs indépendants. «Il y a eu de véritables avancées, avec la mise en place du mi-temps thérapeutique et l'alignement du congé maternité des indépendantes sur celui des salariées», expliquait récemment au Figaro Jean-Guilhem Darré, délégué général du Syndicat des indépendants. Depuis le 1er janvier 2019, les nouveaux indépendants - ce sera le cas pour les anciens en 2020 - bénéficient de l'accès au droit des indemnités journalières en cas de maladie, qu'ils soient à jour ou non de leurs cotisations. Et le statut d'indépendant, notamment celui en plein essor des autoentrepreneurs qui travaillent pour des plateformes numériques, du type Uber ou Deliveroo, devrait encore évoluer à l'avenir. Ces indépendants, qui dénoncent régulièrement la précarité de leurs conditions de travail, réclament en tout cas plus de protections.

  • Faillites : après un recul en 2018, 2019 inquiète. Effet "Gilets Jaunes" ?

    Les défaillances s’accélèrent en fin d’année 2018 dans tous les secteurs. Si pour le dernier baromètre Altares, les perturbations dues au mouvement des gilets jaunes « ont pu donner le coup de grâce à certains commerces », la Coface assure de son côté que leurs conséquences étaient « peu visibles sur les défaillances d’entreprises ». Matthieu Barry pour NetPME fait le point. Extraits La question de l’influence des perturbations du mouvement des gilets jaunes sur cette hausse de fin d’année s’est posée. Réponse : il n’aurait qu’une faible part de responsabilité. D’après Thierry Million, directeur des études de la société Altares, la plupart des TPE/PME défaillantes étaient en position de faiblesse avant le mouvement des gilets jaunes : « lorsque s’amorce le mouvement des gilets jaunes en novembre, les entreprises sont déjà fragilisées par des trésoreries sous tensions depuis plusieurs semaines », explique-t-il. « C’était parfois déjà trop tard et les perturbations ont pu donner le coup de grâce à certains commerces », ajoute-t-il. Un « coup de grâce » relatif pour la Coface qui estime, dans son étude, que l’effet du mouvement des gilets jaunes sur les défaillances ne fut que « très limité ». Si le mouvement des gilets jaunes ne semble pas avoir eu de véritable impact sur les défaillances 2018, il a pu néanmoins fragiliser certains commerces. Au 24 janvier, 4 577 entreprises ont demandé à bénéficier du dispositif d’activité partielle mis en place par l’État. L’étalement des échéances sociales et fiscales a été prolongé au 1er trimestre 2019. Les entreprises devraient bénéficier rapidement d’un remboursement de leurs crédits d’impôts. Pour aller plus loin... Le nombre de créations d'entreprises en France a atteint en 2018 un record de 691.000, tiré par une progression de 28% des micro-entreprises, ainsi que des entreprises individuelles classiques (+20%), a rapporté récemment l'Insee. Toutefois après avoir connu une baisse importante depuis deux ans, les défaillances d’entreprises sont fortement reparties à la hausse au dernier trimestre de l’an passé. En 2018, le nombre de défaillances a certes baissé de 1 %, avec 54 600 faillites – son plus bas niveau depuis dix ans, selon l’étude du cabinet Altares publiée jeudi 24 janvier. Mais la tendance, sur les derniers mois de l’année, est inquiétante. Au cours du dernier trimestre, les liquidations ont rebondi de 4,2 %, tutoyant la barre des 15 000 procédures. Inquiétudes pour 2019 Selon les Echos : Alors à quoi l'année 2019 va-t-elle ressembler ? La baisse du prix du pétrole et les mesures du gouvernement telle que la hausse de la prime d'activité ou encore la prime exceptionnelle défiscalisée vont redonner du pouvoir d'achat . Mais « les ménages sont en plein doute et donc les arbitrages ne se font pas en faveur de la consommation immédiate », pointe Thierry Millon directeur des études d'Altares.. Il craint donc que les défaillances augmentent de 2,6 % cette année, avec 56.000 entreprises touchées par une procédure collective. Les économistes d'Euler Hermes craignent un « effet domino » dû aux faillites d'entreprises d'une certaine taille, pouvant entraîner dans leur chute des petits fournisseurs. Coface est un peu moins pessimiste et table sur une hausse de 1 % des faillites en 2019. Mais note tout de même que le cycle du secteur de la construction s'est retourné l'an passé. Or, ce domaine d'activité représente à lui seul environ un quart des défaillances totales en moyenne.

  • Selectra lève 0 euro !

    Communiqué original de Selectra pour souligner les risques voire l'utilité d'une levée de fonds. Extraits : "Alors que les startups rivalisent en communication dans les montants levés, on peut se demander si la levée de fonds n’est pas devenue un objectif en soi, au mépris de la rentabilité pérenne de l’activité." (NDLR : Pas faux !) La situation rappelle dangereusement les prémices de l’éclatement de la bulle Internet des années 2000. Selectra, un porte-étendard français de l’écosystème startups avec 800 collaborateurs et un chiffre d’affaires de 36 millions d’euros, reste en-dehors du mouvement et appelle à la vigilance. La levée de fonds est un moyen et non une fin La tendance générale est à la célébration de la levée de fonds comme un moment de réussite suprême, amenant de surcroît un fort intérêt médiatique. Bien souvent, les sommes levées ne sont pas gérées aussi parcimonieusement que si elles avaient été investies par l’entrepreneur lui-même et les dirigeants considèrent les sommes levées comme du cash à dépenser. Pourtant, la levée de fonds est en réalité le début d’un difficile parcours visant à rendre l’activité rentable sur le long terme afin de construire des assises solides pour l’avenir. Une nouvelle bulle Internet ? Abondance de liquidités, taux d’intérêt très bas, envol des valorisations de l’univers tech et startups, levées de fonds géantes… La situation actuelle commence à rappeler celle de la bulle Internet des années 1995-2000, qui avait éclaté notamment sous l’effet de la hausse des taux d’intérêts américains, un mouvement qui se profile dangereusement à nouveau aujourd’hui. "Dans ce contexte, Selectra fait figure d’exception" précise ce communiqué. Rentable depuis toujours, la startup est détenue à 100% par ses cofondateurs. Ayant depuis toujours privilégié une gestion prudente des dépenses, Selectra vise pourtant une position de leadership mondial sur ses activités et progresse rapidement vers cet objectif, avec un chiffre d’affaires 2018 en hausse de 43% avec 36 millions d’euros. “Nous n’avons pas de pétrole mais nous avons des idées” indique Xavier Pinon, cofondateur de Selectra. “Nous encourageons nos équipes à faire preuve de talent, de débrouillardise et d’inventivité pour faire mieux avec moins, sans pour autant se priver des investissements vraiment utiles, y compris à très long terme”. (NDLR : On est d'accord, mais ce n'est pas toujours facile à faire !) > Selectra facilite la comparaison, souscription et gestion des contrats de la maison pour rendre le monde moins cher, plus vert et sans paperasse. En deux mots, Selectra fait des comparaison de prix et de services sur tout ce qui concerne votre maison (éléctricté, internet, assurance etc...)

  • Le français Sendinblue rachète le leader allemand Newsletter2go

    Sendinblue, la scale-up française du marketing digital pour les TPE/PME, rachète le leader allemand Newsletter2go. Un an après une levée de 30 millions d’euros avec Partech, Sendinblue poursuit avec cette acquisition sa croissance à trois chiffres. Au regard des chiffres totalisés par cette nouvelle entité, Sendinblue se positionne désormais en leader européen : près de 80 000 entreprises clientes dans 160 pays avec une équipe de plus de 250 personnes, répartis en France, aux Etats-Unis, en Inde et à présent en Allemagne. Face aux solutions moins respectueuses du règlement général de protection des données européen (RGPD), Sendinblue propose une solution hébergée en Europe et offre à ses clients la possibilité de pouvoir sauvegarder leurs données en France ou en Allemagne. Par ailleurs, les certifications RGPD de SendinBlue et Newsletter2GO et leur conformité à la réglementation allemande –une des plus strictes au monde–  garantissent à leurs clients le plus haut niveau de protection des données. Le nouvel ensemble va mutualiser ses développements IT et continuer à innover sur le produit en investissant massivement en R&D afin d’être la solution la plus puissante du marché tout en restant intuitive et simple d’utilisation. Sendinblue présentera d’ici quelques mois un panel de nouvelles fonctionnalités permettant aux marketeurs d’accroître leur champ d’action et leur efficacité tout en maîtrisant leurs coûts. Le nouvel ensemble Sendinblue et Newsletter2go n'exclut de nouvelles acquisitions prochainement. À savoir Fondée en 2012, SendinBlue aide les PME à se développer grâce au marketing digital. Déjà fortement présente en France (l’un de ses marchés historiques où elle réalise 40 % de son chiffre d’affaires), en Espagne, en Italie, au Royaume Uni et aux Pays-Bas, Sendinblue souhaitait consolider sa position en Allemagne. C’est désormais chose faite grâce à l’acquisition de Newsletter2Go, le leader national. Sendinblue a été fondée par Armand Thiberge. Fervent défenseur des entrepreneurs, il lance Sendinblue pour mettre à leur disposition des outils marketing efficace à faible coût. Sendinblue a levé 30 millions d’euros en septembre 2017 pour accélérer sa R&D et renforcer ses équipes : 150 salariés répartis entre New Dehli, Seattle et le siège de Paris. Fondée en 2011 à Berlin, Newsletter2go compte de son côté 16 000 clients aux profils variés : PME, grands groupes (Volkswagen, Airbus), ONG (Amnesty International) ou encore des media comme le prestigieux Spiegel. Les 60 salariés de l’entreprise sont localisés en Allemagne et le resteront précise le communiqué de presse.

  • Carbone Savoie obtient le Prix Ulysse 2019

    Le Prix Ulysse 2019 récompensant le meilleur retournement d’entreprise de l’année, a été décerné à Carbone Savoie par le Grand Jury de l’Association pour le Retournement des Entreprises (ARE). L’ARE a distingué le redressement spectaculaire de l’entreprise industrielle emblématique savoyarde, dernier fabricant français de carbone et graphite synthétique de France. Créée en 1897, Carbone Savoie qui conçoit des blocs de graphite et carbone destinés à l’industrie de l’aluminium, emploie aujourd’hui près de 400 personnes. Auparavant handicapée par des coûts de revient très élevés et confrontée à un marché de plus en plus concurrentiel, l’entreprise semblait destinée à la fermeture. Reprise en 2016 par le fonds de retournement Alandia Industries, Carbone Savoie a réussi un impressionnant redressement au prix d’une modification en profondeur de son modèle. Soutenu par son actionnaire qui s’engage à investir 30 M€ en quatre ans (entre 2016 et 2019) pour moderniser les installations, Sébastien Gauthier, Président Directeur-Général de Carbone Savoie a lancé une stratégie offensive de reconquête. Est alors engagée une transformation radicale de la structure de coûts et le déploiement d’importants moyens pour soutenir les efforts d’innovation et de commercialisation. Afin de redynamiser la compétitivité de l’entreprise, l’investissement est concentré sur l’outil de production afin d’améliorer la productivité et la capacité de production. Enfin, cette stratégie ne peut réussir que dans un climat de confiance et un dialogue social performant. La direction initie dès 2016, une communication de proximité avec les salariés afin de restaurer au sein de l’entreprise, un climat propice au travail et à l’engagement de chacun. Grâce au plan de redressement mis en place, la production de l’entreprise est passée de 20 000 tonnes en 2016 à 32 000 tonnes en 2018. Le chiffre d’affaires a quant lui pratiquement doublé : il passe de 60 millions d’euros en 2016 à 113 millions en 2018. Signe de la reprise de confiance des salariés, 90 % d’entre eux ont choisi de souscrire fin 2017 à l’augmentation de capital qui leur a été réservée par l’actionnaire. Ils possèdent aujourd’hui 5 % du capital de leur entreprise. Carbone Savoie a réussi à se réindustrialiser, à gagner d’importantes parts de marché en exportant 95 % de sa production, à redevenir profitable et à autofinancer sa croissance. "En deux ans, et alors qu’elle était considérée par beaucoup comme condamnée, Carbone Savoie a réussi à se réindustrialiser, à gagner d’importantes parts de marché, à redevenir profitable et à autofinancer sa croissance notamment par une réduction de son BFR. Elle a même procédé à une vingtaine d’embauches en 2018" nous dit Les Echos Redressé, Carbone Savoie poursuit son développement en investissant en Recherche & Développement dans le domaine des poudres en graphite pour les batteries électriques. D’ici à 2020, la société envisage d’atteindre 150 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise prépare l’avenir en accompagnant les vingt-cinq jeunes étudiants qui ont rejoint la nouvelle école de formation Carbone Savoie spécialement créée pour protéger le renouvellement des compétences et le savoir-faire. "Le redressement terminé, l’entreprise vient de passer à une phase de développement, dans le cadre d’un nouveau plan industriel baptisé CAP 2021" Véritable prix d’excellence, le Prix Ulysse récompense chaque année depuis 2011, le meilleur retournement d’entreprise de l’année écoulée. L’entreprise distinguée à cette occasion, aura non seulement effectué un retournement spectaculaire, mais également inscrit son redressement dans la durée. Elle aura donné un nouvel élan à son activité. Toutes les composantes (sociales, industrielles et financières) sont prises en compte pour l’attribution de ce prix. Source : Communiqué de presse de l'ARE - Les Echos Solutions

  • Les impressionnants chiffres du e-commerce en France

    63  % des sites e-commerce ont augmenté leurs effectifs et 18  % des e-marchands TPE/PME ont recruté au moins un salarié en 2017. Rares sont les secteurs autant pourvoyeurs d'emplois nouveaux... Le progrès de Lyon s'est penché sur les derniers chiffres de le FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) et dresse une liste de 4 nouveaux métiers. Coté chiffres : Le chiffre d’affaires du e-commerce est passé de 30 milliards d’euros en 2010, à 81,7 en 2017. La Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) estime que 37,5 millions de Français achètent sur Internet, soit 85,5  % des internautes. Quant aux sites marchands, on en compte toujours plus : à peine 50 000 en 2011, ils sont désormais presque 200 000. 63  % des sites e-commerce ont augmenté leurs effectifs et 18  % des e-marchands TPE/PME ont recruté au moins un salarié en 2017. Coté nouveaux métiers : GESTIONNAIRE DE MARKETPLACE Métier encore méconnu, il va exploser dans les prochaines années. Les entreprises vendent leurs produits sur leur site internet et les référencent de plus en plus sur les places de marché qui regroupent plusieurs vendeurs, les « marketplaces » comme Amazon, CDiscount, Alibaba, La Redoute, la Fnac… Objectif être présent partout ! DATA ANALYST Dans le e-commerce, la donnée est partout. Même le plus petit des e-marchands peut en récolter. « Encore faut-il les analyser, les comprendre, calculer les seuils de rentabilité, les audiences, le taux de conversion… Le data analyst sait traiter ces flux, identifier les habitudes de consommation, comprendre les clients... CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGER Plus il y a de données, plus on connaît les habitudes de consommation. Se doter d’un Customer Relationship Manager est indispensable pour choisir les meilleures opérations afin d’optimiser la qualité de la relation client et maximiser le chiffre d’affaires... TRAFFIC MANAGER Difficile de faire exister ses produits sur Internet sans développer et qualifier son audience. Maîtriser le référencement est indispensable...

  • Quoi de neuf en 2019 ?

    Quoi de neuf ? Finalement pas grand-chose. Nous devons poursuivre cette année encore la « transformation » des entreprises, des organisations, des managements et des salariés. Transformation obligatoire, à l’heure du numérique, qui nous permet à tous de gagner en agilité et en performance. (ÉDITO publié lundi 7/01/2019) Et pourtant, il semblerait que plutôt que d’avancer pour réussir ces changements, nous sommes dans un flou total, incontrôlé voire inquiétant, avec le grand retour des solutions « magiques » : taxes et autres « cagnottes cachées » pour débloquer des situations. C’est très bien à l’instant T, mais ce n’est pas une solution durable, car les entreprises et tous les français, d’une manière ou d’une autre, paieront. Ce ne sera, en aucun cas, un cadeau. Pourtant, il fallait faire des gestes forts, avancer, aider les personnes qui en ont besoin et surtout imaginer de nouvelles solutions pour notre fiscalité et notre système social et de santé exceptionnel. La casse, la révocation ou la politique de la terre brûlée n’ont jamais démontré leurs bienfaits. Mais pour trouver de nouvelles solutions plus équitables, la première condition serait d’apprendre à nous écouter. Je dois avouer qu’un tweet (dont je tairai le nom de l’auteur) m’a fait sourire « Tous ceux qui ont boycotté le discours de Macron, sont unanimes pour dire : ce discours était très mauvais ». Ce message en dit long sur l’état d’esprit dans notre pays en oubliant au passage ce que nous avons en avantages santé et protection sociale chez nous, même si beaucoup de choses restent à améliorer et il est inutile de verser des torrents d’insultes sur les réseaux sociaux, sans même prendre le temps de réfléchir à ce que nous avons. Où est passée la confiance ? À l’heure où la plupart des dirigeants d’entreprise, et je pense de TPE-PME, bouclent leur bilan annuel, je peux vous dire que, dans le silence, ils sont inquiets, très inquiets. Comment s’est terminée leur année 2018 ? Avec plus de 100 000 personnes qui sont en chômage technique et des baisses de chiffre d’affaires qui atteignent (trop) souvent les 40% ? L’asphyxie. Qu’est-ce qu’on dit à ce dirigeant ? Il (ou elle) obtient quoi en retour ? Le droit d’organiser le prélèvement à la source – sans se tromper pour éviter les pénalités - ou de donner des primes, alors que son activité a été freinée voire totalement stoppée ?Et puis, quoi qu’on en dise, ses charges courent toujours. L’entreprise qui a pris souvent un sacré coup, s’en relèvera-t-elle ? Le sujet est sensible mais semble peu préoccuper médias, pouvoirs publics et manifestants, qui pourtant ces derniers sont en première ligne car pour leur employeur, rattraper les pertes sera long et qui risque de trinquer au final ? Alors oui, certaines revendications sont tout à fait justifiées et avancer avec intelligence serait la meilleure des solutions afin de trouver des systèmes nouveaux qui concerneraient notre fiscalité (trop lourde) notre système social (trop cher et complexe) nos emplois (très chers) pour, in fine, défendre notre pouvoir d’achat ! Michel PICOT @michelpicot

  • La durée de vie des contenus sur les réseaux sociaux

    Infographie très intéressante sur la durée de vie des contenus sur les réseaux sociaux. Un tweet c'est bien : un blog c'est mieux !

bottom of page