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- La folie des calendriers de l'Avent
Rien que pour les calendriers jouets, il s'en est vendu 13% de plus en 2017 que l'année précédente, pour un chiffre d'affaires de 21 millions d'euros... Mais cette année, de nombreuses nouveautés sont arrivées sur le marché : bière, vin, fromage, sexy ... En attendant Noel... BFMTV nous rappelle que le calendrier de l’Avent est né en Allemagne au XIXe siècle, où on distribuait aux enfants une image pieuse chaque jour des quatre semaines précédant Noël. Ces images ont fini au fil du temps par être rassemblées dans un calendrier de 25 cases. D'abord en Allemagne et en Alsace, et puis en France après 1945. Les images sont devenues des chocolats et désormais beaucoup d'autres choses... Calendrier chic et sexy Forte d’une riche expérience en communication au sein de plusieurs entreprises, Barbara Bosquet, à la tête de Com and B Agency, vient de créer « Sexy chic », un calendrier de l’Avent très original, qui met en scène des modèles masculins dans un coffret en édition limitée. Comment vous est venue l'idée ? D’une simple conversation avec une amie : nous discutions des offres proposées actuellement sur le marché des calendriers de l’Avent destinés aux enfants. En plaisantant et en rêvant à ce que nous, mamans, nous aimerions trouver chaque matin au réveil en ouvrant une petite fenêtre, l’idée a germé… Chez Univers Luxe Le calendrier de l avent adulte commence à pointer son nez. Que pensez d’un calendrier de l avent sextoys ? Le calendrier avent adulte a de longs jours devant lui car c’est un cadeau sympathique à offrir à un ou une amie.... Chez mode and déco Le calendrier Sextoys ! Un chaque jour... Les couples pourront à nouveau découvrir chaque jour des produits vibrants, excitants et captivants avec 24 nouvelles surprises... Le calendrier "kamasutra"
- James 1840 reprend Perrouin 1875
James 1840 reprend la société Perrouin 1875 et perpétue l'excellence et le savoir-faire français. - INFO CP - Référence française de l'agencement d'intérieur et des savoir-faire d'exception, James 1840, installée dans la Manche, annonce le rachat de l'entreprise rennaise Perrouin 1875, un autre fleuron national spécialisé dans la fabrication de chaises. Autour d'une même philosophie et de cette volonté commune de perpétuer le savoir-faire et l'excellence française, James1840 accompagne Perrouin pour un nouveau souffle. Cette entreprise familiale depuis cinq générations compte parmi les chaisiers français ayant traversé le temps. Perrouin doit cette pérennité à sa volonté de valoriser l'histoire d'une maison de chaises de style. Depuis toujours, leurs créations portent cet héritage, mêlant histoire et innovation. L'objet s'inscrit dans l'air du temps, par l'interprétation des codes actuels - les lignes sont contemporaines mais la maîtrise est ancestrale. Le soin apporté au détail et l'usage de matières nobles, autant d'arguments qui finissent de convaincre James pour l'écriture de cette nouvelle histoire commune. Deux maisons historiques s'unissent et mêlent leurs métiers au service du design et de l'édition: une bonne nouvelle pour la création française.
- Mars investit 70 millions dans son usine en Alsace
Mars Wrigley Confectionery France annonce un investissement d’un montant de plus de 70 millions d’euros dans son usine française d’Haguenau en Alsace. Cette somme sera consacrée à la transformation et au développement de ses lignes de production afin de répondre aux nouvelles attentes des consommateurs avec la suppression du dioxyde de titane de l’ensemble de ses produits, de renforcer ses plus hauts standards de qualité, et de confirmer son expertise dans la production de M&M’s® pour la France et les marchés européens. Implantée depuis plus de 40 ans en Alsace, l’usine d’Haguenau est historiquement dédiée à la production européenne de M&M’s® avec plus de 130 millions de billes produites chaque jour et exportées vers près de 50 pays. Après de précédents investissements de 30 millions d’euros en 2007 puis de 40 millions d’euros en 2012, Mars France continue d’assoir le développement de son site industriel avec un nouvel investissement de plus de 70 millions d’euros qui s’inscrit dans la volonté du groupe de toujours mieux répondre aux attentes des consommateurs. Mars consacre une majorité de ses investissements en Alsace à son plan de transition prévoyant la suppression du dioxyde de titane (Ti02) dans la fabrication de l’ensemble de ses produits de confiseries d’ici mi-2020. Cette suppression se fait à l’échelle française et européenne. Un investissement est également dédié sur le site afin que l’intégralité du processus de production des M&M’s® Mix (produit mixant les variétés Peanut, Chocolat et Crispy) y soit pilotée. Par ce nouvel investissement, le Groupe Mars réaffirme son attachement à l’Alsace. En complément et dans le cadre de la réalisation des travaux, une attention particulière a été portée par le groupe pour valoriser les entreprises locales. Pour plus de 90% des aménagements prévus, Mars fera appel à des entreprises implantées sur le territoire alsacien. Au-delà de son attachement à la région, Mars l’est tout autant vis-à-vis de ses salariés. Présent dans le top 10 des employeurs de la région avec près de 2 100 employés, le groupe a fait partie en 2018 et pour la cinquième année consécutive, du top 3 des entreprises où il fait bon travailler en France et conserve la 1ère place des groupes industriels au classement Great Place to Work. Mars en France L’implantation du Groupe date de 1967. Le Groupe s’est progressivement étendu et compte aujourd’hui dans l’hexagone 4 200 collaborateurs, 10 sites dont 8 usines (quatre en Alsace). Ces cinq dernières années, Mars a investi en France plus de 300 millions d’euros. En 2018, et pour la 5ème année consécutive, Mars figure dans le Top 3 du classement Great Place to Work® et a été élue 1ère entreprise préférée des stagiaires et alternants au classement Happy Trainees 2018-2019. Mars, Incorporated est une entreprise familiale, non cotée en Bourse, avec plus d’un siècle d’histoire. Basée aux Etats-Unis, elle propose des produits et services pour les personnes et les animaux de compagnie. Opérant dans plus de 80 pays, l’entreprise emploie plus de 115.000 collaborateurs à travers le monde et affiche un chiffre d’affaires de plus de 35 milliards de dollars.
- Prédictions 2019 : les changements dans la tech...
GP BULLHOUND, banque internationale d’affaires et de conseil dans le secteur technologique, dévoile ce lundi 10 décembre 2018, pour la 12ème année consécutive, son rapport sur les 10 tendances et innovations qui façonneront l’industrie technologique en 2019. Ce nouveau rapport, « Technology Predictions 2019 », prédit notamment que Amazon va s’accaparer une part importante du marché ad-tech, détenu jusque-là par Google et Facebook. Preuve en est, cette année, Amazon est devenu la troisième plus grande plateforme aux États-Unis en termes de publicité digitale, avec 4,6 milliards de dollars dépensés sur Amazon par les annonceurs. Sa part des budgets en ad-tech passera de 4% cette année à 7% d’ici 2020. 2019 sera également l’année où Apple et Google perdront du terrain dans le domaine de la distribution d’applications. En effet, des acteurs comme Netflix ou encore Spotify n’utiliseront plus l’App Store ou Google Play au profit de leur propre plateforme. 2019 risque donc de montrer un intérêt plus accru par les développeurs pour des solutions alternatives. Les banques numériques vont prospérer en 2019 grâce notamment à des investissements plus importants, une meilleure réglementation et de nouvelles innovations leur permettant de s’octroyer une plus grande part des services bancaires dédiés aux consommateurs. La croissance des solutions fintech innovantes, qui défient les banques traditionnelles, sera alimentée par une croissance rapide des startups. Cette dernière sera nourrie au travers des VCs souhaitant investir dans les fintech et par la demande croissante des millennials – 91% d’entre eux préfèrent les banques numériques aux banques physiques. Cette nouvelle édition 2019 met également en avant de nouvelles tendances : Les abonnements payants vont éclipser la publicité – Alors que les consommateurs sont de plus en plus préoccupés par l’utilisation abusive de leurs données et la qualité du contenu proposé, les services d’abonnement payant constituent une alternative crédible. De ce fait, la croissance du marché de la publicité numérique devrait ralentir et passer de 17,7% en 2018 à 8,6% en 2022. L’intelligence artificielle, un apport technologique significatif – L’IA devrait avoir un impact positif considérable sur les conditions de travail et la flexibilité des horaires. Avec 31% d’entreprises devant intégrer de l’IA au cours des prochaines années, l’intelligence artificielle réduira le besoin pour les humains d’assumer des tâches fastidieuses améliorant la qualité de travail des employés. La technologie au service des RH – L’IA et le machine learning accompagnent de plus en plus les départements des ressources humaines aussi pour les évaluations de performance que pour atteindre une meilleure diversité dans les recrutements. Cette utilisation de la tech dans les RH a généré une augmentation significative des fusions et acquisitions dans ce secteur passant de 55 en 2015 à 76 en 2018, avec des valorisations moyennes augmentant de 28 millions de dollars en 2015 à 300 millions en 2018. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter. Les technologies du retail deviennent plus intelligentes - La technologie est en train de remodeler radicalement le secteur de la vente au détail. Malgré la montée du e-commerce, le retail traditionnel représente toujours 88% des achats au détail dans le monde. Une nouvelle ère du retail va voir le jour en 2019 notamment au travers d'innovations et de changements dans l'expérience du retail physique (ex : chatbots IA, élimination des caisses…). Accélération dans le « dernier kilomètre » va devenir une réalité – 56% des millennials consommant en ligne s’attendent à ce que l’envoi dans la journée soit une option, mais la livraison au dernier kilomètre représente 53% du coût total du transport. Pour satisfaire le client, les retailers se tournent vers l’innovation pour préserver leurs marges et accélérer les délais de livraison. L’essor des cryptomonnaies – Le Bitcoin a certainement connu des hauts et des bas dont une implosion en 2018 après avoir atteint une capitalisation boursière de plus de 800 milliards de dollars. Mais comme les institutions financières traditionnelles augmentent leur investissement dans la Blockchain, 2019 devrait être enfin l’année du transfert du capital institutionnel vers les cryptomonnaies. Les femmes vont remodeler le secteur de la tech – Les fondatrices et cadres dirigeantes vont mettre à l’honneur les femmes dans la tech en améliorant l’accès au mentorat, au financement, à l’écosystème business et aux opportunités d’emploi. « Ce nouveau rapport révèle que les nouveaux arrivants du secteur tech vont radicalement réorganiser des écosystèmes depuis longtemps dominés par seulement un ou deux acteurs clés. Ces nouvelles technologies sont nécessaires à bien des égards : elle permet de mettre en compétition des acteurs d’un même marché facilitant ainsi renouveau et innovation. » affirme Guillaume Bonneton, Partner France chez GP Bullhound. « In fine, ces améliorations apportent de meilleures solutions aux consommateurs et favorisent le développement. »
- Gilets Jaunes : Et si on regardait d'abord ce que nous avons en France ?
Et si on regardait les choses en face ? Sommes-nous dans un pays où tout détruire serait "La Solution" ? Ce qui est inquiétant aujourd'hui c'est que cette crise est déjà à l'oeuvre. À quelques jours de Noël, ce sont, notamment, les commerçants qui commencent à trinquer le plus, avec des baisses de C.A. de 15 à 30% un peu partout en France et même les mythiques Grands Magasins Parisiens ferment ce samedi. Conséquence, c'est le e-commerce qui est le grand gagnant, seulement voilà... C'est Amazon qui en profite le plus et qui ne paie que des clopinettes d'impôts en France. En face, d'autres risquent de perdre leur travail et donc une partie de leur pouvoir d'achat... Coluche disait, sur un ton humoristique mais malheureusement vrai : "Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres." Alors, si pas mal de choses doivent évoluer, être modifier dans le calme avec des idées neuves, casser n'est certainement pas la bonne solution, les conséquences peuvent être désastreuses. Et si pour commencer le dialogue, nous nous posions les vraies questions avec cette infographie du Monde ci-dessous, très instructives...
- L'Hyperloop de TransPod s'installe en Haute Vienne
FrenchWeb revient sur l'arrivée de l'Hyperloop dans la Vienne. le permis de construire d'un centre d'essai vient d'être signé. (Extraits) La mairie de Droux (Haute-Vienne) vient de délivrer un permis de construire pour un centre d’essai de «l’Hyperloop», ou train subsonique du futur, qui ambitionne à terme de propulser les voyageurs à quelque 1 200 km/h dans des «tubes». Le permis en date du 30 novembre prévoit la création d’un bâtiment technique et de maintenance et d’un bâtiment de réception reliés par un tube de près de 3 km de long, sur une surface totale de 1 753 m2 près de Droux, dans le nord de la Haute-Vienne. Les travaux pourraient débuter au printemps 2019. L’Hyperloop est porté par la start-up canadienne TransPod travaillant au développement de la technologie Hyperloop en Europe. Le principe de ce train ultra-rapide est de faire circuler des capsules pressurisées, ou «pods», dans des tubes à basse pression pour s’affranchir des frottements aérodynamiques et frôler le mur du son. Sébastien Gendron, co-fondateur et PDG de TransPod basée à Toronto, expliquait l’été dernier que la «piste» d’essai doit permettre «de tester en conditions réelles, à échelle un demi, la technologie Hyperloop développée par TransPod». Ce projet s'élève à 21 millions d'euros est à ce jour financé à 100% par des investisseurs privés dans le cadre d’une levée de fonds de plus de 50 millions d’euros conduite par TransPod, avait indiqué l’entreprise, annonçant des partenaires industriels français et internationaux à venir. En France, l’Hyperloop a également débarqué à Toulouse, où la société Hyperloop Transportation Technologies a décidé d’implanter son centre R&D sur le site de l’ancienne base aérienne de Francazal.
- Les relations (parfois) compliquées entre les petites entreprises et Amazon
« Nous sommes en train de construire une réglementation européenne sur le sujet, rappelle Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'état au numérique s'inquiète des agissements des plates-formes de ventes comme Amazon (mais aussi Ali Baba, E-bay etc...) qui, sans prévenir, peuvent couper les comptes de ventes en ligne de TPE/PME dans leur market place. 20 Minutes nous raconte l'histoire de Jean-Christophe Caurette (extraits) Pour lui, les ennuis ont commencé cet été. Sans aucun préavis, la maison d’édition qu’il dirige en Alsace se retrouve privée de son compte Amazon. Impossible de vendre le moindre livre via la célèbre plateforme d’e-commerce. « Du jour au lendemain, vous perdez 15 % de votre chiffre d’affaires (CA) total, explique le dirigeant à 20 Minutes. Et pour certains pays comme l’Espagne ou l’Italie, les ventes via Amazon représentent jusqu’à 50 % de notre CA ». Tentant de comprendre la situation, Jean-Christophe Caurette envoie des dizaines de mails et de courriers à la plateforme, sans succès : « Je me suis heurté à un mur. Je n’arrivais à joindre personne ». Son cas n’est pas isolé. Depuis un mois, suite à une initiative lancée par le secrétaire d’État Mounir Mahjoubi, des dizaines de TPE-PME en difficulté avec les plateformes ont saisi le médiateur des entreprises, Pierre Pelouzet pour tenter de trouver une solution. « Il faut renouer le dialogue, explique ce spécialiste des relations entre entreprises. On essaye de comprendre d’où vient le problème. Il peut y avoir des torts partagés : par exemple, une PME qui se met à vendre sur Amazon et qui n’arrive pas à faire face à l’afflux de commandes peut être sanctionnée. De même, un avis négatif laissé par un client ou un problème de livraison peut entraîner un bannissement. Mais dans tous les cas, on ne peut pas laisser les chefs d’entreprise sans réponse, c’est terrible pour eux ». souligne le Médiateur National des Entreprises qui ajoute : "« Je crois que les plateformes commencent à comprendre que cette politique peut les desservir, poursuit Pierre Pelouzet. Si vous déréférencez trop d’entreprises, vous risquez d’avoir des dégâts d’image, et vous perdez aussi des fournisseurs potentiels ». De son côté, Amazon se défend de toute entrave aux TPE-PME : « Nous attachons la plus grande importance aux relations avec les petites et moyennes entreprises, qui représentent plus de la moitié des ventes du site », explique un porte-parole à 20 Minutes. Par ailleurs, en France Amazon doit également faire face à une assignation en justice lancée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes fin 2017 : l’administration lui reproche d’imposer aux entreprises des clauses qui peuvent les mettre en péril, comme la possibilité de suspendre le contrat à tout moment. Une amende de 10 millions d’euros a été réclamée contre la plateforme. Article complet ICI
- LDLC dans le rouge
LDLC (-26% à 7,43 euros) voit partir le quart de sa capitalisation en fumée, le spécialiste e-commerce sur le marché de l’informatique et du high-tech accumule les mauvaises nouvelles : résultats semestriels décevants et abandon de son objectif de croissance annuelle et de résultats à moyen terme. Son titre retombe ainsi au plus bas depuis avril 2013. Capital nous rappelle que LDLC a dévoilé hier soir (lundi 3/12/2018) par anticipations ses résultats pour le premier semestre, clos fin septembre. Il affiche sur cette période, une perte nette de 3,5 millions d'euros, contre +2,5 millions un an plus tôt. [...] Le groupe a expliqué la dégradation de ses comptes par un environnement de marché moins favorable (hausse des prix des composants, attentisme des gamers) et les investissements qu'il a réalisés. Comme exemples de ceux-ci, le groupe a cité les systèmes d'information et plateformes web, le lancement de l'activité en Espagne, recrutement d'une équipe BtoB en région parisienne, la création d'une cellule R&D, le développement du réseau de magasins… LDLC prévoit toutefois des tendances plus favorables sur la seconde partie de l'exercice, avec un Ebitda " nettement positif ".
- Les prévisions choc pour 2019 de Saxo Bank
Saxo Bank publie aujourd’hui ses 10 Prévisions choc pour 2019. Sans tenir compte d’aucun consensus, les analystes et experts de l’équipe Saxo Strats ont analysé plusieurs évènements hautement improbables qui, s’ils se réalisaient, pourraient avoir un impact énorme sur les marchés. Ces prévisions ne constituent pas les prévisions de marché officielles de Saxo Bank pour 2019, mais elles constituent un avertissement quant à une possible mauvaise répartition du risque pour les investisseurs qui ne voient généralement qu’1% de probabilité que ces événements se réalisent. Les Prévisions choc pour 2019 sont : - L’Union Européenne annonce un effacement de la dette - Apple achète Tesla à 520 $/action - Donald Trump limoge J. Powell - Le Premier Ministre britannique Jeremy Corbyn instaure la parité entre la livre sterling et le dollar américain - La crise du crédit aux entreprises conduit Netflix à connaitre le même sort que General Electric - L’Australie lance son propre plan Paulson après avoir nationalisé les quatre principales banques du pays - L’Allemagne entre en récession - Une éruption solaire de classe X sème le chaos et provoque des dégâts à hauteur de 2000 milliards de dollars - Adoption d’une taxe mondiale sur le transport en raison de la multiplication des inquiétudes relatives au climat - Le FMI et la Banque mondiale annoncent leur intention de cesser de mesurer le PIB, et de se concentrer sur la productivité. Steen Jakobsen, Economiste en chef, commente : « Cela fait plus de 10 ans que nous publions nos Prévisions choc, et je pense qu’elles sont, cette année, aussi fascinantes et choquantes qu’elles encouragent les investisseurs à penser sans tenir compte d’aucun consensus. Cette année toutes les prévisions ont une thématique commune : « Trop c’est trop ». Ayant fait ce travail pendant plus de 30 ans, force est de constater à quel point notre société est devenue irresponsable tant au niveau de la politique, que des entreprises et même des individus. La cupidité est la nouvelle tendance et elle ne rencontre que complaisance plutôt qu’un désir d’équité et de productivité. » À vous de juger...
- 25 millions d'euros pour produire des fraises toute l'année !
La startup Agricool vient de réaliser sa 3e levée de fonds d'un montant de 25 millions d'euros. Selon Wansquare Henri Seydoux, Xavier Niel, Danone et la BPI font partie des investisseurs... Agricool a mis au point des containers high tech permettant de produire des fraises toute l'année, sans terre, ni pesticides, en circuit court. La start-up francilienne veut déployer son partenariat avec Monoprix dans tout Paris et regarde également un développement à Dubaï. La Tribune nous raconte l'histoire de cette start-up peu banale (extraits) L'histoire d'Agricool est celle d'une utopie tellement folle qu'elle finit par marcher : une nouvelle forme d'agriculture urbaine, qui permet de produire en circuit court, dans les villes, des fruits et légumes de grande qualité, grâce à la technologie et avec un impact minimal sur l'environnement. « J'en avais assez de manger en ville des fruits et légumes sans goût, pleins de pesticides, très loin de la qualité de ceux qu'on mange dans la campagne ou que mangeaient nos grand-parents », explique Guillaume Fourdinier, le co-fondateur avec Gonzague Gru, et Pdg d'Agricool. Les deux entrepreneurs décident alors de s'attaquer à la source du problème : la « distance entre le produit et le consommateur », et « la production de masse, avec ses dérives, les produits chimiques ». Persuadé qu'on peut « bien manger aussi dans les villes », ils lancent la startup Agricool en 2015 avec l'espoir de révolutionner la production des légumes grâce à la technologie, qui permettrait de produire en circuit court, dans un environnement urbain, et sans pesticides. Pour cela, Agricool mise sur des containers bardés d'innovations, dont deux sont protégées par des brevets. Dans un cube de 35 m² qui peut se garer n'importe où (dans un entrepôt, un parking...), ils font rentrer plusieurs milliers de plants de fraises installés à la verticale. Pas besoin de terre et à peine d'eau : les fruits mûrissent sous des lampes LED fabriquées par la startup elle-même et un "système fermé de nutriments". Impossible d'en savoir plus sur la technologie protégée par deux brevets, pour des raisons de confidentialité. Comme les plants n'ont pas besoin de terre, « on consomme 99% moins d'eau que n'importe quel producteur de fraises », revendique fièrement Guillaume Fourdinier. Les fraises ne sont pas bio car produites sans terre et à l'intérieur, mais elles sont sans pesticides et « meilleures, au niveau nutritionnel », que celles des supermarchés. Surtout, elles peuvent être cueillies à maturité et vendues à quelques kilomètres de leur lieu de production. « Cela fait toute la différence au niveau du goût, on se rapproche du produit que l'on cueille soi-même à la campagne. » Aujourd'hui, la startup a créé et exploite six containers, qui produisent 7 tonnes de fraises par an. Cinq sont situés à Paris, le dernier se trouve à Dubaï où l'on aime consommer des fraises en plein désert toute l'année. À Paris, les fruits sont vendus pour l'instant dans deux Monoprix (Beaugrenelle et Asnières-sur-Seine), pour 4,5 euros la barquette de 250 grammes. Cher, mais comparable au bio. Agricool va donc utiliser les 25 millions d'euros de sa levée de fonds pour industrialiser la production des containers et les commercialiser. La startup, qui emploie aujourd'hui 60 employés dont 70% en R&D, compte recruter 200 personnes dans les trois années à venir, essentiellement pour développer la commercialisation. Enfin Agricool pourrait, dans le futur, produire autre chose que des fraises, voire développer tout un arsenal de fruits et légumes !
- Sentryo boucle son tour de table de 10 millions d'euros
La start-up lyonnaise Sentryo, spécialisée dans la cybersécurité des systèmes industriels, a bouclé un tour de table de 10 millions d’euros. Sopra Steria, BNP Paribas Développement, Omnes Capital et Alliance Entreprendre rejoignent les investisseurs historiques, Breed Reply, ACE Management et Kreaxi, dans le cadre de cette opération. La société avait également levé 2M€ en février 2016 nous apprend FrenchWeb Les solutions développées par Sentryo sont principalement utilisées par des entreprises dans les secteurs de l’énergie et du transport. Ce tour de table doit permettre à Sentryo d’accélérer son développement à l’international. La société souhaite principalement s’étendre en Europe et en Amérique du Nord.
- Crise des Gilets Jaunes : "impact économique inquiétant"
Selon de ministre de l'économie Bruno Le maire, Le chiffre d'affaires de la grande distribution a reculé de 15 % à 25 % depuis le début du mouvement, de 20 % à 40 % dans le commerce de détail, de 15 % dans les marchés de gros, notamment alimentaires, de 20 % dans la restauration. De même, les réservations hôtelières connaissent une chute de 20 % et « l'industrie commence à être touchée », explique le ministre, donnant l'exemple de commandes de véhicules Renault annulées. Bruno Le Maire n'a pas annoncé de nouvelles mesures destinées à aider les entreprises en difficultés. Il s'est borné à rappeler que, depuis le 27 novembre, elles pouvaient avoir recours au chômage partiel. Il a aussi indiqué avoir envoyé une circulaire aux préfets pour autoriser l'ouverture dominicale des commerces qui le demandent lors des prochains week-ends. La Direction générale des finances publiques a, elle, reçu des instructions afin d'examiner avec bienveillance les demandes fiscales des entreprises touchées par les « gilets jaunes », y compris en ce qui concerne le paiement anticipé du cinquième acompte d'impôt sur les sociétés, qui doit être effectué normalement le 15 décembre prochain. Les entreprises de transport routier de marchandises (TRM) et de logistique subissent aussi de plein fouet les effets des blocages et des barrages filtrants. Les Organisations Professionnelles du secteur évaluent à plus de 400 millions d’euros les pertes d’exploitation. Les camions sont bloqués dans des centaines de kilomètres de bouchons ou dans les zones logistiques, sans pouvoir livrer. Des entrepôts sont inaccessibles et les personnels sont menacés. On constate, en outre, dans plusieurs régions des problèmes d’approvisionnement en carburant. Cette situation est le résultat de plus de deux semaines de manifestations.