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184 éléments trouvés pour «  »

  • Sale temps pour la radio

    Au delà du classement des radios et de leurs programmes, un phénomène interessant voire surprenant sur l'écoute de la radio en France est ressorti du dernier sondage publié ce jeudi 15/11/2018 : la baisse générale pour le média radio lui-même. Les Français sont pourtant très attachés à ce média, mais ils l'écoutent moins : 78,6% en ce début d’année radiophonique - sept/oct 2018 - contre 79,5% l’an passé à la même période. Que se passe-t-il ? L'offre TV a-t-elle amplifié sa pression sur celle de la radio ? La radio perdrait-elle sa crédibilité ou assistons-nous à un nouveau de consommation de la radio ? Penchons nous sur ce nouveau mode de consommation de la radio : le podcast et plus précisément le podcast natif et inédite (qui n'est pas la rediffusion d'un programme diffusé à la radio que l'on appelle un replay). Selon L'Express, aux États-Unis, où il a acquis ses lettres de noblesse avec Serial en 2014 (un feuilleton audio sur une grande enquête criminelle), 40% des Américains de plus de 12 ans affirment avoir écouté un podcast au cours du dernier mois, contre 12% seulement il y a 5 ans. Et le marché publicitaire de ce "nouveau" genre soit estimé, aux États-Unis toujours, à 220 millions de dollars en 2017, avec une augmentation de 85% par rapport à l'année précédente. Et en France ? Arte radio a été une pionnière il y a 15 ans, et depuis Transfert, Binge Audio, Nouvelles écoutes, Louie Media, ou encore BoxSons sont arrivés. Le Business Club de France (votre site est un nouveau acteur), Matthieu Galet, ex Président de Radio France prépare pour 2019 Majelan, le "netflix" du podcasts. Coté radio : avec plus 22 millions de podcasts téléchargés par mois, un chiffre en croissance constante, France Culture est le média des nouveaux usages d’écoute, de production et de diffusion audio. Documentaires, fictions, émissions, en abonnement ou en bouquets... les podcasts de France Culture sont plébiscités selon la lettre pro Pourquoi un tel engouement ? 8,5% des internautes, soit 4 millions d’individus écoutent des podcasts radio selon les derniers résultats de l’étude «écoute des podcasts» de Médiamétrie. 81% des podcasts téléchargés sont écoutés. Attention Médiamétrie appelle les auditeurs de podcast, des "podcasteurs". Cette étude est basée sur l'écoute de programmes en "replay" donc déjà diffusés en radio. Mais il est intéressant d'observer que ce mode de consommation de programmes audio entre dans les habitudes des Français. Ces auditeurs "disciplinés" séduisent naturellement de plus en plus d'annonceurs, d'autant que la publicité dans les podcasts est jugée moins intrusive selon les podcasteurs.

  • Le Business Club de France devient 100% digital

    Présente sur les ondes de BFM Business Radio, l'émission "Le Business Club de France" devient "le Business Club de France des Entrepreneurs" et revient en version 100% digitale ! Il s'agit du premier BlogCast des TPE-PME de France Le message de Michel Picot, directeur de la publication Bonjour Ça y est on est prêt… ou presque… (merci de ne pas trop tenir compte de nos bugs) On est prêt à vous proposer un nouveau blog que l’on a baptisé un BlogCast, car nous avons voulu faire un nouveau Blog d’information et vous proposer parallèlement des Podcasts, natifs, inédits que vous pouvez écouter sur ce site, sur Itunes sur Spotify, et bientôt ailleurs ! Alors, comme vous pouvez le constater on a chercher à aller à l’essentiel dans notre site ! L'info, le son et un peu de vidéo sur la vie de nos entreprises. Comme nous l’avions évoqué - dans nos précédentes émissions - avec des centaines d’entrepreneurs, nous nous sommes, nous aussi, transformés et adaptés au nouveau mode de consommation de la radio, c'est à dire de la radio à la carte. Lorsque nous étions, chaque week-end, sur BFM Business Radio, nous étions plus écouter en replay, qu’en direct… Aujourd’hui nous avons donc décidé de revenir, uniquement en digital et à la carte ! Nous aussi, nous avons choisi de rebondir, de vous écouter, de proposer une nouvelle offre adaptée au mode de consommation de la radio aujourd’hui. À ce jour, 4 millions de français –selon différentes sources, car il n'y a aucun outil fiable de mesure à ce jour - écoutent régulièrement des podcasts ou des replays. Ce support - ou ce monde de consommation de programmes à la carte - est en train de devenir un média puissant, nous avons souhaité participer à cette aventure. Ce site, vous donne toujours accès aux 10 ans d’émissions diffusés sur BFM Business, mais nous allons aussi vous proposer des entretiens et des sujets inédits. Le médiateur national des entreprises sera également avec nous chaque semaine. Enfin chaque jour, de nouvelles infos et très vite une newsletter quotidienne… Au bout de 10 ans sur BFM business radio, nous avons accueilli près de 4000 chefs d’entreprises TPE/PME, nous avons créé une communauté et nous ne voulions pas couper le contact avec vous. Plus que jamais, nous voulions continuer à animer cette communauté, garder le contact, échanger, partager … Continuer à vivre ensemble… Alors on continue aujourd’hui ici sur ce Blog Cast… et demain … sur d’autres supports… Restons en contact ! www.businessclubdefrance.biz ou plus simple www.bcfe.biz Vos idées, vos sujets et vos commentaires sont les bienvenus ! Merci d'être là. Michel Picot

  • Legrand s'offre Netatmo

    Netatmo, société française spécialiste des objets connectés, avait levé en 2015, 30 millions d’euros. Cette opération avait été réalisée notamment auprès de Legrand. Aujourd'hui Legrand a acquis 100% du capital de la société qui emploie 225 personnes pour un CA de 45 millions d'euros. Écouter notre entretien réalisé en 2015 : ICI Créée en 2011, Netatmo a développé de nombreux produits pour la maison intelligente (station-météo connectée, thermostat connecté, etc.) et réalise un chiffre d'affaires annuel d'environ 45 millions d'euros. La start-up a signé avec Legrand un accord en vue de cette acquisition, a annoncé ce dernier dans un communiqué, sans dévoiler d'éléments financiers. Legrand collaborait déjà avec la société dans le cadre de son programme stratégique de solutions connectées (interrupteurs, prises de courant, etc.), baptisé +Eliot+ et lancé mi-2015. Netatmo est une "pépite française" qui "a des catégories de produits complémentaires des nôtres (...) et on pense intéressant d'ajouter à notre dispositif" d'autres produits développés par Netatmo, a expliqué à l'AFP Benoît Coquart, directeur général de Legrand. Fred Potter, fondateur et dirigeant de Netatmo deviendra également directeur de la technologie (CTO) du programme Eliot de Legrand. "Pour nous aujourd'hui, c'est le franchissement d'une étape supplémentaire en étant intégrés dans le groupe Legrand, une occasion pour les équipes de continuer à développer à la fois des produits Netatmo avec tout l'ADN de la marque (...) et aussi des produits d'infrastructures du bâtiment comme ceux qu'on développe avec le groupe Legrand", a-t-il expliqué. Plus d'info : Zone Bourse

  • Trump menace de taxer le vin français

    "La France fait de l'excellent vin, mais les États-Unis aussi. Le problème est qu'il est très difficile de vendre du vin américain en France, avec des tarifs (douaniers) élevés. Pendant ce temps, il est facile de vendre du vin français aux États-Unis, avec de faibles tarifs douaniers. Ce n'est pas juste et cela doit changer" . Voilà un des tweets de Donald Trump aujourd'hui. Une éventuelle taxation du vin tricolore ne serait pas sans conséquences. Car les États-Unis sont l'un des principaux importateurs :4ème en volumes, et 1er en valeur. En 2017, les Etats-Unis ont importé 1,60 milliard d’euros de vin français, en croissance de 36 % sur les 5 dernières années. Les exportations de champagne sont notamment en forte croissance. Ce vin pétillant représente 33% du total en valeur des exportations de vin vers les Etats-Unis, selon Franceagrimer.

  • BlaBlaCar reprend les cars Ouibus de la SNCF

    La SNCF vend Ouibus, sa filiale d'autocars, au géant français du covoiturage BlaBlaCar. Elle entre aussi au capital du covoitureur grâce à une levée de fonds de 101 millions d'euros. (Le Figaro) La nouvelle est pour le moins surprenante: la SNCF a décidé de vendre son activité de cars longue distance au leader français du covoiturage pour un montant non dévoilé. Rachel Picard, la directrice générale de Voyages SNCF, et Nicolas Brusson, directeur général de BlaBlaCar se sont félicités lundi 12 novembre 2018, d'un mariage pour le moins inattendu. Les deux entreprises avaient commencé à travailler ensemble pendant les grandes grèves du printemps à la SNCF. L'une et l'autre avaient partagé leurs plateformes pour répondre à une partie de la demande des voyageurs en multipliant les liaisons par autocar. Le pionnier du covoiturage, qui compte désormais 65 millions de membres dans 22 pays, est décidé à déployer les liaisons d'autocar Ouibus à l'international. «C'est d'ailleurs pour financer notre développement à l'international que nous lançons une levée de fonds de 101 millions d'euros», explique Nicolas Brusson. La SNCF va à cette occasion entrer au capital de BlaBlaCar en prenant une participation «très minoritaire». L'opération va permettre à BlaBlaCar de faire son apparition sur OUI.sncf, «Cela va permettre de créer plus de 30.000 possibilités de voyages», souligne Rachel Picard.

  • Infographie : les freelances en France

    A l’occasion des 10 ans du statut d’auto-entrepreneur fêtés récemment, Kang a fait le point sur les motivations et craintes liées à cette mutation professionnelle. En effet, le phénomène freelances, loin d’être alternatif ou marginal, reste pourtant une activité encore mal accompagnée. Pourtant, la France comptabilise aujourd’hui près de 13 millions de freelances et on estime à 50% le nombre de travailleurs indépendants parmi la population active d’ici 2050. Kang est une plateforme de sharing economy dédiée aux freelances.

  • "Made in France" : un atout, mais peut mieux faire...

    Les entreprises "made in france" : Quel soutien et quelles difficultés rencontrent-ils ? A quel point le made in France est-il un atout pour vendre ? Le Made in France un atout majeur ! Le Made in France est en effet un pilier pour les entreprises sondées par MIF Expo et Tudigo, c’est même l’ADN de leur marque pour 73 % d’entre elles. Elles sont 62% à constater que c’est un argument qui a un impact fort sur les ventes. (75% des entrepreneurs savent que les consommateurs sont motivés par la question du Made in France.) Des défis à relever Dans le registre des défis que les entreprises doivent relever, on note que les questions de financement et de fiscalité revêtent une grande importance. Mais, de façon plus inattendue, les entreprises soulignent que la notoriété et la distribution demeurent des obstacles à franchir pour 48% des sondés. Les soutiens du Made in France Quand on demande aux entreprises, quelles sont les institutions qui agissent pour le Made in France comme un véritable soutien, ce sont les labels (58%)* et les collectivités territoriales (34%) qui arrivent en tête. En revanche l’Etat (9%) et la Banque Publique d’Investissement (13%) ne sont pas perçus comme des soutiens au quotidien. Ce que les entreprises du Made in France réclament Les entrepreneurs réclament d’abord une baisse de la TVA sur les produits Made in France (65%) et 64% des entreprises interrogées demandent une baisse des charges et de l'impôt sur la production. Ils sont favorables à la taxation des produits qui arrivent en France mais qui ne respectent pas les normes européennes (53%). Normes que les entreprises sondées doivent évidemment respecter. Enfin, près d’une entreprise sur 2 souhaitent réserver les aides de l’état aux entreprises qui produisent en France. Pour Fabienne Delahaye, présidente du salon du (MIF) Made in France : « Ce que je retiens c’est que les entreprises ne se sentent pas soutenues par l’état et ses institutions, comme la BPI par exemple. En revanche, elles croient davantage au pouvoir de la région comme un booster d’activité. On remarque également que le Made in France est devenu un sujet majeur pour les consommateurs et les entrepreneurs qui n’hésitent pas à le mettre en avant dans l’ADN de leur marque. » * Le Label : "Origine France Garantie"

  • Depuis le 6/11/2018 : Les femmes travaillent "gratuitement"

    Chaque année, en raison des inégalités salariales entre hommes et femmes, les femmes françaises travaillent "gratuitement" à partir d'une certaine date. En 2017, cette période a débuté le 3 novembre à 11h44, cette année, ce sera le 6 novembre à 15h35, soit 3 journées de gagnées par rapport à l’an dernier ! Pour la troisième année consécutive ce mouvement sur l'égalité salariale en France, est l'œuvre d'une newsletter féministe, Les Glorieuses, qui avait déjà œuvré en 2016 et 2017. Ces chiffres, basés sur des données Eurostat, montrent qu'en 2018, le salaire horaire brut des femmes est encore de 15,2 % plus faible que celui des hommes. L’écart se fonde sur une comparaison de la moyenne horaire brute entre les employées et les employés. Ramené sur une année, cet écart rend le travail des Françaises "gratuit" à partir du 6 novembre à 15h35, soit une petite amélioration par rapport à 2017 ! Nous pouvons mieux faire ? (et c'est un homme qui écrit)...

  • Paris : Stationnement payant pour les déménageurs...

    La ville de Paris ne manquent pas d'imagination ! Elle a décidé de faire payer le stationnement des camions de déménageurs à partir de février 2019. Nous savons tous qu'il est impossible de déménager sans avoir un véhicule de transport à proximité, cette mesure s'apparenterait-elle à du racket ? Selon 20 mn : De 27 à 90 euros Ainsi, si le camion est garé dans la « bande de stationnement », les déménageurs devront débourser 27 euros par jour pour les véhicules de moins de 3,5 tonnes, et 60 euros par jour pour les véhicules de plus de 3,5 tonnes. En dehors de la « bande de stationnement », les tarifs montent à 40 euros par jour pour les véhicules de moins de 3,5 tonnes et 90 euros par jour pour les véhicules de plus de 3,5 tonnes. Face à cette grille tarifaire, les déménageurs s’insurgent. C'est une très mauvaise nouvelle pour les entreprises du secteur soumises à une très forte concurrence. Selon les Déménageurs Bretons, cela va couter en moyenne entre 90 et 120 euros. Et qui va payer selon vous ? À ce rythme là, la ville de Paris, à la recherche du moindre euro, fera-t-elle aussi payer les camions de livraison et pourquoi les camions de pompiers en intervention ?

  • La voiture... même pour 3 km ?

    70% des français utilisent leurs voitures pour aller travailler nous apprend Libération. Ce moyen de transport est ultra-majoritaire en toute circonstance, que ce soit sur des distances adaptées à la marche à pied (moins de 3 km) ou idéales à vélo (moins de 5 km). Et, évidemment, au-delà de 5 km de trajet, quatre travailleurs sur cinq y ont recours. Même pour des distances inférieures à 1 km, 58% des actifs se déplacent en voiture. Difficile de tirer des conclusion facile, car en ville où les transports en commun sont plus nombreux, la voiture reste plus souvent au parking. Ailleurs, c'est une autre affaire... Selon cette étude de l'INSEE de 2015, les ouvriers sont certainement les plus concernés car les centres de production (les usines) sont souvent situés loin des centres villes et très mal desservis par les transports en commun.

  • Médiation des entreprises : l'administration désormais concernée

    Jusqu'à présent, l'action de la Médiation des Entreprises concernée les problèmes rencontrées entre entreprises ou entreprises et collectivités locales, dans le cadre l'appel d'offre publique par exemple. Désormais l'action du médiateur des entreprises sera étendue aux litiges opposant ces dernières aux administrations publiques, à travers un dispositif expérimental qui entré en vigueur. Les administrations et établissements publics de l'Etat, les collectivités territoriales ou encore les organismes de sécurité sociale pourront désormais saisir le médiateur en cas de différend avec une entreprise, et vice-versa, souligne le décret. Menée sur trois ans, l'expérimentation ne concernera que certaines régions (le Centre-Val de Loire, le Grand Est, la Normandie et la Provence-Alpes-Côte d'Azur) et certains secteurs d'activité (construction, industrie manufacturière, information et communication). Plus d'info : Le Figaro

  • Le vin bleu arrive en France !

    Il y a 5 ans, cinq jeunes étudiants espagnols ont souhaité révolutionner le vin en lui donnant une autre couleur : "le bleu". Oui le vin est bleu ! 2 ans de recherches, avec l'aide de chimiste pour trouver le bon mix entre vin blanc, vin rouge et du moût, cette mixture obtenue par pressage des raisins et pas encore fermentée. En 2015, ils ont vendus 15 000 bouteilles, et près de 500.000 en 2017. Et Capital (en ligne) nous apprend que l'entreprise Gik Live compte aujourd'hui des clients dans 21 pays, son premier marché étant les États-Unis, et son deuxième... la France, haut-lieu du vin ! D'autres producteurs s'y sont mis en Espagne. Même du cava bleu, ce vin pétillant typiquement espagnol, est arrivé sur le marché. Jean-Michel Deluc, ancien sommelier du Ritz à Paris, trouve le vin bleu "surprenant". "C'est pas mon goût, je dois l'admettre, mais c'est pas mauvais quand même, c'est plutôt bien fait", dit-il dans une vidéo postée sur le blog Le Petit Ballon, consacré à l'actualité du vin.

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