top of page

184 éléments trouvés pour «  »

  • SEB va fabriquer des vélos électriques en France

    Ne pas tirer de leçons en matière économique, environnementale et humaine de cette dure crise serait condamnable. Beaucoup d'institutions et d'entreprises ont pris conscience - à leur dépends - de la nécessité de diminuer la dépendance aux produits étrangers, et de faire revenir en France certaines industries, parfois presque disparues, pour renforcer notre économie. Bonne nouvelle: BFM TV nous apprend que le Groupe Seb va fabriques des vélos électriques haut de gamme en France. "Le géant français du petit électroménager SEB va fabriquer en France à partir de l'été unvélo électrique haut de gammeconçu par la nouvelle start-up de l'investisseur Marc Simoncini, fondateur du site de rencontres Meetic, ont annoncé les deux entreprises". "La pandémie de Covid-19, qui pousse de nombreux urbains à délaisser les transports en commun pour privilégier notamment le vélo, a provoqué une flambée de la demande et rendu nécessaire un partenariat. "C'est un projet digital. Mais à un moment donné, il faut bien le fabriquer. On s'est retrouvé face à un mur industriel", a expliqué le co-fondateur d'Angell." "On va vendre beaucoup plus de vélos que ce qu'on avait prévu", a-t-il affirmé, tablant désormais sur 10.000 unités la première année contre un objectif initial de 1500, et environ 60.000 sur les trois premières années. "Depuis le confinement, on a multiplié nos volumes de commandes par trois." Lire l'article intégral

  • Le nouveau rôle de l'entreprise post-confinement

    Avant le confinement, 20 à 30 % des salariés télétravaillaient en moyenne 1,2 jour par semaine. Aujourd'hui près d'1 Français sur 4 est concerné. La majorité souhaite prolonger ce fonctionnement et ne plus avoir de poste attitré au bureau. On va vers une organisation en "flex desk": pas de bureau attitré, mais un mobilier adapté aux usages. Les surfaces des entreprises vont s'en trouver réduite, moins coûteuses. En revanche, pour maintenir le sentiment d'appartenance, la culture d'entreprise, et par conséquent l'engagement et l'efficacité, l'accent devra plus que jamais être mis sur le rôle social de l'entreprise. Selon E-Marketing, elle pourrait même se transformer en lieu de réunions conviviales, de team building, de célébrations fédératrices autour d'événements concernant l'équipe. Qu'en pensez-vous? Comment voyez-vous l'évolution de votre entreprise? Quel sera "l'après"?

  • 12 caractéristiques des entrepreneur·e·s qui vont survivre à la crise

    Quelques mots - certes un peu durs - mais inspirants en cette période éprouvante. Lu sur Maddyness. Qu'en pensez-vous? Selon Anaïs Richarding, directrice exécutive de Maddyness, les entrepreneurs qui s'en sortiront dans les prochains mois, seront: Autodisciplinés Entourés Proactifs Efficaces Résilients Humbles Alignés Visibles Généreux Conscients Leaders Courageux Lire l'article intégral pour découvrir toute l'analyse

  • Plus de la moitié des Français sont heureux de retourner travailler le 11 mai

    Le déconfinement approchant à grand pas, la plateforme d'interaction en temps réel Sparkup a mené une étude afin des tirer les conséquences du travail à distance. Près de trois quarts des sondés aimeraient obtenir plus de jours de télétravail qu’avant la crise, ou encore que 71,4% des salariés estiment que les réunions sont plus efficaces en présentiel qu’à distance.

  • Back Market lève 110 millions d’euros pour s’imposer aux États-Unis

    Lu sur Maddyness "Back Market, spécialiste du téléphone reconditionné dont les ventes ont doublé avec le confinement, a annoncé mardi avoir levé 110 millions d’euros pour poursuivre son expansion internationale et renforcer son contrôle qualité. Fondée en 2014, la startup française compte 280 salariés dans huit pays. Cette levée de fonds, qui avait été actée avant l’épidémie de Covid-19, doit permettre à Back Market de consolider sa position sur les marchés allemand, britannique et américain. Pénétrer un peu plus le marché américain, objet avoué de la précédente levée de fonds de l’ordre de 41 millions d’euros réalisée en 2018, reste une priorité pour le PDG Thibaud Hug de Larauze. Lire l'article intégral

  • COVID-19, Karos, 5 000 covoiturages gratuits pour l’AP-HP

    Depuis le 16 mars, près de 5 000 trajets ont été réalisés par les soignants pour effectuer les allers-retours entre leur domicile et leur lieu de travail. Gratuits pour l’ensemble du personnel de l’AP-HP, les covoiturages Karos bénéficient également en cette période si particulière d’un allongement du parcours jusqu’à 80 kilomètres, au lieu de 30 kilomètres habituellement. Quant à l’assistance retour, elle est toujours garantie pour que les passagers rentrent sereinement chez eux en cas d’annulation du conducteur. A PROPOS DE KAROS Créée en 2014 par Olivier Binet (expert en développement d’entreprises, ex Bridgepoint), et Tristan Croiset (expert en Big Data, ex- Criteo et Google), Karos développe des technologies de géolocalisation et d’intelligence artificielle pour inventer un nouveau réseau de transport en commun en exploitant les sièges libres des voitures en circulation. Le service Karos compte 380 000 utilisateurs et réalise chaque jour, en moyenne, un covoiturage toutes les six secondes. Karos commercialise des solutions techniques et méthodologiques auprès des entreprises et des collectivités. Karos Entreprises permet aux employeurs (Airbus, Safran, Nissan, AP-HP, INRIA, CNRS, Crédit Agricole…) d’optimiser la mobilité quotidienne de leurs salariés. Karos Territoires permet aux autorités de transports (Île-de-France Mobilités, Région Normandie, Région Réunion, Région Occitanie, Grenoble Alpes Métropole, Troyes Champagne Métropole…) de compléter leur réseau de transport en commun en zones péri-urbaines et rurales. Soutenue par le Ministère de la Recherche, la Commission Européenne et BPI France, ambassadrice de la French Tech à la COP 21, Karos a été primée à quatorze reprises pour son innovation de rupture au service de la mobilité durable.

  • Maison Berger offre 20 000 flacons de solution hydroalcoolique à MSF

    Retrouvez plus bas l'émission n°4 du Business Club de France des Entrepreneurs, dans laquelle Olivier Sillion, président de Maison Berger Paris, présentait l'initiative de l'entreprise. Dès la mi-mars, Maison Berger a réorganisé sa chaîne de production face à la crise du COVID-19. Pour élaborer ses parfums d’intérieur, l'entreprise est amenée à utiliser de l’alcool isopropylique, l’une des matières premières composant les solutions hydro-alcooliques. Maison Berger Paris, a choisi de s’engager dans la production des liquides aseptisants dès la publication de l’arrêté du 13 mars 2020 autorisant les entreprises du secteur de la cosmétique et de la chimie à réorienter leurs activités afin de répondre à une demande en solutions hydro- alcooliques multipliée par 10. Dès le 30 mars et durant 4 semaines, un million de flacons dans des formats de 250 et 500 ml ont été produits. 1 million et demi de flacons supplémentaires sortiront des chaînes avant le 1er mai. Maison Berger Paris offre une partie de ces flacons à des structures locales identifiées comme prioritaires avec les services de l’État : le CHU de Rouen ainsi que les hôpitaux de Bernay et Bourg-Achard, mais également à des associations comme la Croix Rouge et l’Ordre de Malte. À propos de Maison Berger Paris Installée en Normandie depuis sa création, labellisée EPV depuis 2015, Maison Berger Paris bénéficie d’une expertise et d’un savoir-faire uniques résultant de 120 ans de recherche en matière de catalyse, breveté et protégé au niveau international. L’entreprise est aussi reconnue pour sa fabrication 100% Made in France, pour son incroyable variété d’objets d’art parfumés et sa collection de 60 fragrances créées par les plus grands maîtres parfumeurs français et validés par son nez-maison. Maison Berger bénéficie d’un large réseau de plus de 7 000 distributeurs dans près de 50 pays. Elle affiche un CA de près de 50 millions d’euros, dont 75 % du CA réalisé à l’export. Maison Berger Paris, c’est une réussite nationale : 150 collaborateurs à l’oeuvre, 800 000 lampes vendues par an, 5 millions de litres de parfum diffusés chaque année. Maison Berger Paris propose plusieurs gestuelles pour parfumer l’air ambiant : des lampes à catalyse, des bougies, des bouquets et des diffuseurs voiture.

  • Withings collabore au projet StopCovid

    Withings, spécialiste français des objets connectés cofondé par Eric Carreel que nous avons eu le plaisir d'accueillir de nombreuses fois au Business Club de France, fait partie des acteurs privés qui vont participer à titre gracieux à l'élaboration de l'application StopCovid, aux côtés de Dassault Sysèmes, Capgemini et Lunabee studio. 01 Informatique précise que "Withings, sur la possibilité de l’utiliser avecdes objets connectés comme des bracelets. A côté de cette équipe, fonctionnera aussi un « écosystème de contributeurs » comprenant un certain nombre de start-up de la French Tech comme Enalees et C4Diagnostic, et des personnalités intervenant à titre individuel".

  • Coronavirus : ce boîtier bipe si vous vous approchez trop de vos collègues de bureau

    Malin! Une solution - quoique pas très chaleureuse - pour le retour au bureau en toute sécurité? 01 Informatique nous informe que : "La société Ududu propose un « assistant de distanciation sociale pour aider les entreprises à sécuriser le lieu de travail pendant l’épidémie Covid-19 ». Un boîtier connecté baptisé Social Distancing Assistant(SDA) pour ne pas trop s’approcher de ses collègues, une fois de retour au bureau" "Fabriqué en Europe, le SDA fonctionne simplement via des boîtiers portables (SDA Tag) que chaque employé doit porter en permanence sur la tête, autour du bras ou du cou comme un badge classique" Lire l'article intégral

  • Santé, électronique, agroalimentaire: il est temps de relocaliser certaines industries

    La crise actuelle fait prendre conscience, parfois cruellement, de la désindustrialisation de la France, devenue dépendante de pays étrangers, avec les conséquence qu'on connaît aujourd'hui. BFMTV dresse la liste des industries que l'on pourrait relocaliser. Qu'en pensez-vous? Santé Composants électroniques Matériaux et terres rares Data centers Agroalimentaire Lire l'intégralité de l'article

  • De l'aide psychologiques pour les entrepreneurs en détresse

    La crise du COVID-19 est un drame économique pour de très nombreuses entreprises françaises, surtout TPE et PME. Nombre d'entre elles se battent pour survivre dans le brouillard d'un lendemain inconnu, quand certaines ont déjà disparu. Pas toujours simple de s'y retrouver dans les aides proposées, ni d'effectuer les nombreuses et difficiles démarches pour y accéder. Sans compte que stress de l'entrepreneur reste quelque peu tabou. Bien souvent, les dirigeants ont pour habitude de mener leur barque seuls, sans s'entourer d'un réseau. La soudaineté de la crise fait prendre conscience de cette solitude et de la nécessité d'une aide psychologique et non seulement économique. Le numéro vert est le suivant : 0 805 65 505 0 BFMTV explique qu'"Il permettra aux chefs d’entreprise en détresse de bénéficier d’une première écoute et d’un soutien psychologique 7 jours sur 7, de 8 heures à 20 heures. "A l’issue d’un appel, pour les cas les plus préoccupants, le chef d’entreprise se verra proposer, s’il le souhaite et dans la plus stricte confidentialité, de bénéficier d’une prise en charge rapide et gratuite par un psychologue spécialement formé" indique un communiqué de Bercy. "Pour les autres cas, une réorientation sera proposée vers des structures publiques ou privées spécialisées dans ce type d’accompagnement."

  • + 56% de retards de paiement en France selon Sidetrade - BFM Business

    Sidetrade, plateforme d’Intelligence Artificielle dédiée à l’accélération du revenu et du cash-flow des entreprises, et BFM Business, présentent la première édition du "Tracker Sidetrade - BFM Business sur les retards de paiement des entreprises". Les retards de paiement des entreprises s’envolent de 56% en France Un impact estimé à 75 Mds€ pour les entreprises Accéder au tracker Dans le contexte actuel de crise sanitaire doublée d’une crise économique historique, comment se comportent les entreprises vis-à-vis de leurs fournisseurs ? Celles-ci ont-elles adopté une ligne de conduite solidaire comme les y exhorte sans relâche le Médiateur des entreprises depuis le début de la crise ? Pour apporter des réponses objectives à ces interrogations, Sidetrade, en partenariat avec BFM Business, lance la publication du premier « Tracker sur les retards de paiement des entreprises » qui sera suivi semaine après semaine. En libre accès pour l’ensemble des décideurs du privé et des pouvoirs publics, cet outil vise à alerter les acteurs économiques quant à la nécessité de « gestes barrières » économiques essentiels, tels que l’adoption d’un comportement de paiement responsable vis-à-vis de ses fournisseurs, avec l’objectif de ne pas amplifier davantage les effets de la crise pour beaucoup d’entreprises déjà en difficulté. Le tracker Sidetrade – BFM Business restitue, semaine après semaine, l’évolution des comportements de paiement de plus 3,7 millions d’entreprises au sein de six pays européens (France, Royaume-Uni, Espagne, Italie, Belgique, Pays-Bas). Sidetrade a analysé, depuis le 1er janvier 2020, plus de 26 millions de factures totalisant 54 Mds d’euros de transactions inter-entreprises. Une étude à la mesure de l’enjeu. Selon l’Observatoire des délais de paiement, les retards de paiement en France oscillent suivant les années autour d’une dizaine de jours, ce qui est relativement similaire à la moyenne européenne. Dans leur étude, les data scientists de Sidetrade ont donc considéré uniquement les retards de paiement supérieurs à cette moyenne, soit chaque retard supérieur à dix jours au-delà de la date d’échéance de la facture. Ils ont ensuite calculé rétroactivement, pour chaque semaine depuis le 1er janvier 2020, le rapport entre ces factures en retard et l’ensemble des factures en suspens puis déterminé une moyenne (en pourcentage) de factures impayées entre le début de l’année et le 11 mars 2020, date de la déclaration de pandémie covid-19 par l’OMS. Ce sont les écarts (en pourcentage) à cette référence moyenne que met en évidence le tracker Sidetrade-BFM Business. Zoom sur la situation en France >> 75 Mds d’euros d’impact sur la trésorerie des entreprises subissant les retards de paiement >> Du 1er janvier au 11 mars 2020, la moyenne des factures impayées avec plus de 10 jours de retard se situait sur une moyenne autour de 19,25% en France. A compter du 11 mars 2020, la courbe des factures impayées en France affiche une dégradation exponentielle pour atteindre 30% au 13 avril 2020, soit une croissance de +56%. >> En extrapolant ces chiffres constatés au 13 avril 2020 -portant sur plus de 11,3 Mds de crédit inter-entreprises dont 3,4 Mds d’euros de factures impayées – à l’ensemble du crédit inter-entreprises en France (700 Mds d’euros), le montant total de ces impayés serait, au 13 avril 2020, de 210 Mds d’euros (30% de factures impayées) là où ces mêmes retards se situaient habituellement autour de 135 Mds d’euros, soit un impact de 75 Mds d’euros de trésorerie en moins pour les entreprises subissant ces retards de paiement.

bottom of page