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- CLEAN TECH WEEK : Les solutions vertes de demain !
ANNECY du 19 au 22 juin 2019 CLEAN TECH WEEK : Les solutions vertes de demain ! Lors de l’International Clean Tech Week, 150 start-up et entreprises présenteront les innovations vertes qu’elles ont conçues afin de répondre aux grandes problématiques environnementales. Comment se déplacer de manière plus durable ? Comment produire moins de déchets ? Comment consommer moins d’énergie fossile ? Inscriptions gratuites ICI Quelques Innovations : > «Beyond the Sea, ou l’innovation qui sauve la planète» est pensée par Yves Parlier qui développe son projet dans le plus grand respect de l’environnement avec ses équipes. Le projet ? Une traction de bateau par un cerf volant, inspirée par la technologie des kitsurf, et qui permet d’utiliser le vent comme une source d’énergie renouvable. Le champ d’application de la traction par kite sera large : de la marine marchande à la plaisance, en passant par la pêche ou encore la sécurité. Le principe est le suivant : des ailes de toutes tailles pourront prendre en charge en partie ou en totalité le besoin d’énergie du navire pour le faire avancer. En plus d’une diminution conséquente des émissions de gaz à effet de serre, la voile permet plus de sécurité car elle empêche le navire de chavirer. Si elle est intéressante pour l’environnement, cette solution est aussi bénéfique pour celui qui l’utilise car elle permet une économie de 20% en carburant. > Vous voulez diviser par cinq votre facture d’eau ? La solution est simple : Liebearth. Lieabearth SAS est une société basée en France dans la Drôme, spécialisée dans la conceptionet la fabrication de dispositifs d’arrosage ultra économes en eau. Pour concevoir ses solutions, Liebearth utilisent les toutes dernières technologies des domainesde l’électronique, de l’informatique et de l’intelligence artificielle. Le système a été conçu pour pallieraux défauts majeurs que comportent tous les systèmes d’arrosage du marché fonctionnant avec des électrovannes et un programmateur. Les constats de Liebearth sont simples : notre planète n’est plus capable de fournir la quantité d’eau dont nous avons besoin et la demande est supérieur à la quantité disponible. L’eau est une ressource renouvelable mais limitée, d’où l’intêret de l’économiser et d’optimiser son utilisation avec un système d’arrosage intelligent. > Notre monde connecté, les grands centres industriels, hôpitaux, banques, aéroports… font appel chaque jour à des échanges de données qui sont traitées dans des « Data Centers », répartis dans le monde entier. Les coûts d’installation d’un Data Center se répartissent entre 48% de bâtiments, 52% d’équipements informatiques, 10% en moyens de sécurité électrique/incendie/anti-intrusion,32 % en moyens de refroidissement. Une large part des bâtiments est dimensionnée pour l’intégration de ces moyens de refroidissement et leurs ordinateurs de contrôle ; avec 10 à 15 % du coût d’électricité dédiés à leur exploitation. Ainsi pour quelques 2.5 milliards de données émises par jour en 2016, ce sont 5% de l’électricité produite au monde, 530 millions de m3 d’eau qui ont été consommés ; et 3% des gaz à effet de serre émis cette même année. Des actions d’optimisation des centres de calculs sont actuellement menées, par le déploiement : *de « Micro Data Centers » aux dimensions adaptées à des besoins locaux, à partir d’unité mobiles, *de « Machines Virtuelles » qui permettent d’exécuter différents systèmes d’exploitation et applications sur un seul et même serveur physique. Mais ces actions ne suffiront pas à contenir le besoin croissant induit conjointement par l’augmentation de la population mondiale des prochaines années, par le développement actuel de l’intelligence artificielle (IA), de l’internet des objets connectés, des Big Data avec en corolaire le besoin de calcul des algorithmes associés. Passer à une maîtrise de l’absorption – dispersion de la chaleur émise dans les lieux de concentrations des moyens de calcul devient un enjeu majeur. Pour y répondre, Immersion 4, startup suisse, propose une innovation de rupture avec l’installation de « tank », conteneur rempli d’huile spéciale non corrosive, dans lequel trempe verticalement l’ensemble des ordinateurs, leurs câbles de liaison, leurs disques de stockage sous réserve qu’ils soient étanches. Dès lors, il n’y a plus de contraintes de climatisation, soit une économie de l’ordre de 30 à 50% de l’énergie consommée par un centre informatique ; avec l’ouverture à un déploiement modulaire dans des surfaces réduites, tout en bénéficiant de la récupération de la chaleur collectée dans les bains d’huile.
- 2019 : année du podcast ?
Longtemps sous-exploité ou cantonné dans l’imaginaire collectif au replay d’émissions de radio, le podcast joue actuellement dans la cour des grands du contenu pour affirmer toutes ses lettres de noblesse. De 3000 émissions disponibles sur iTunes en 2005 à plus de 500 000 accessibles aujourd’hui sur la plateforme, le format a fait du chemin. Si 2019 sera (et est déjà) l’année du podcast, prenons le temps de regarder d’où il vient et son adoption par les annonceurs dans le brand content. FrenchWeb fait le point par Julien Callaou, Content Strategist et expert SEO chez YouLoveWords Extraits : - Parmi l’offre XXL que l’on trouve aujourd’hui, on distingue tout de même deux grandes familles: rattrapage et natif. > Le podcast de rattrapage concerne tous les programmes provenant des stations de radio et que vous pouvez réécouter à tout moment. > La seconde famille, dite de podcast natif, regroupe les créations sonores originales, sans passage par la radio. Facile à produire car non restreint par une grille de programmation radiophonique (mais demandant un bon matériel tout de même), ce sont ceux qui vous racontent des histoires, documentent des faits historiques, résolvent des enquêtes policières… Et des histoires d'entrepreneurs comme le propose la Fabrique de Contenus éditrice de ce site. Bien entendu, le format n’est pas nouveau en soi. Pour rappel, Arte Radio avait déjà des podcasts natifs en 2002. La notion de nouveauté prend toute sa dimension dans le sens où son utilisation mais aussi sa consommation permettent de toucher une audience à de nouveaux endroits, moments avec une approche nouvelle pour les marques. Le podcast est un formidable outil de brand content permettant de raconter de nombreuses choses à condition de garder en tête que pour que cela fonctionne, les marques doivent toujours comprendre les attentes de leurs audiences pour leur apporter un contenu qui a une véritable valeur, un réel intérêt.
- Ivalua devient la nouvelle licorne française
Ivalua, un des leaders mondiaux des solutions e-Achats et de gestion des dépenses, annonce aujourd’hui avoir levé 60 millions de dollars pour accélérer son développement. Cette levée de fonds valorise l’entreprise à plus d’un milliard de dollars, faisant ainsi d’Ivalua la nouvelle licorne française. La société devrait dépasser les 100 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2019. Avec ce nouveau tour de table, Ivalua accueille Tiger Global Management à son capital aux côtés d’Ardian Growth - l’un des investisseurs historiques qui profite de l’opération pour se renforcer - de KKR et des Fondateurs. Le management d’Ivalua conserve toutefois une participation majoritaire afin d’assurer la continuité sur le long terme de la stratégie de croissance de l’entreprise tout en conservant la satisfaction de ses Clients. La solution Ivalua est devenue un outil stratégique de l’amélioration de la performance financière des entreprises grâce la rationalisation des processus achats, l’amélioration des relations fournisseurs et la génération de valeur. Le marché des logiciels de gestion des achats est estimé à plus de 20 milliards de dollars. Il connaît une croissance rapide et se distingue comme l’un des secteurs les plus dynamiques du marché des logiciels SaaS (Software as a Service). Ivalua a su croître tout en maintenant sa rentabilité. Cette levée de fonds permettra d’accélérer les investissements de l’entreprise en matière d’innovation produit, de développement international et de saisir les éventuelles opportunités de croissance externe. Pour David Khuat-Duy, Président et Fondateur d’Ivalua : « Cet investissement, réalisé par l’un des principaux fonds mondiaux, est une reconnaissance supplémentaire de la qualité de notre vision stratégique à long terme et du modèle économique d’Ivalua. Ce capital supplémentaire nous permettra d’offrir toujours plus de valeur à nos clients tout en assurant notre croissance. »
- "Honte de prendre l'avion ?" la tendance inquiète...
Alors que les manifestions pour le climat se multiplient à travers le monde et qu’un grand quotidien national titrait récemment en Une « Et si on arrêtait de prendre l’avion », les Entreprises du Voyage ont voulu prendre le pouls des Français et plus particulièrement de ceux qui voyagent régulièrement en avion. Dans ce contexte, un sondage BVA/Les Entreprises du Voyage a été réalisé du 17 avril au 2 mai 2019 auprès d’un échantillon représentatif*. "Honte de prendre l'avion" : Dans la Tribune Alexandre de Juniac, le directeur général de l'association internationale du transport aérien (IATA), ne cachait pas son inquiétude face à ce mouvement né en Suède qui prend de l'ampleur chez les jeunes générations. Il déplore la méconnaissance des mesures et engagements "énormes" prises par les compagnies, et annonce le lancement d'une campagne de communication pour les expliquer en dehors des cercles de l'aviation. Et qu'en pensent les Français ? Le réchauffement climatique, une préoccupation qui fait l’unanimité 8 français sur 10 se déclarent préoccupés par le réchauffement climatique et près d’un tiers se disent même très préoccupés (31%). Un tiers des français a pris l’avion au cours des 12 derniers mois Au global, 36% des français ont pris l’avion au cours des 12 derniers mois, que ce soit pour des raisons personnelles (35%) ou professionnelles (7%). Parmi ces voyageurs aériens, les voyageurs professionnels (40%) portent une attention plus marquée au bilan carbone de leurs voyages que les "voyageurs loisirs" (27%). Une part importante des voyageurs (63% au total) a déjà (37%) ou envisage (26%) de changer son comportement pour limiter l’impact environnemental de ses voyages en avion, suivant les possibilités suivantes : ‐ Choisir une destination moins lointaine : 49% ‐ Renoncer à l’avion pour un mode de transport moins polluant : 44% ‐ Compenser les émissions carbone de leurs voyages : 34% ‐ Renoncer à leurs voyages : 30%. *Echantillon de 2 004 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, profession de l’interviewé, région et catégorie d’agglomération
- Trophées PME - RMC : 10e édition. Inscrive-vous !
C'est parti pour la 10e édition des Trophées PME - RMC "Bougeons Nous". Pour cette année, plusieurs nouveautés marqueront le premier concours des PME de France : Un trophée pour "La PME de l'Année" une cérémonie régionale à Paris en plus de Lille, Lyon, Nantes et Montpellier ! Et toujours 100 000 euros à gagner ! N'hésitez pas à vous inscrire : L'inscription se fait en ligne et c'est toujours gratuit ! Choisissez bien votre catégorie, car les membres du jury sont très attentifs sur ce point. Si vous pensez vous être trompés, faites-le nous savoir rapidement par mail. Par ailleurs, soyez précis dans la description de votre activité mais aussi de vos perspectives de développement et sur ce que vous avez fait : créations d’emploi, innovation, relance d’un produit ou d’un service… Ces informations sont et resteront confidentielles, mais indiquez-nous vos chiffres actuels (effectifs et chiffres d’affaires sur les 3 dernières années, ainsi que vos perspectives dans les années à venir). Soyez précis et évitez de nous fournir des « fourchettes » car les membres des jurys ont du mal à évaluer ce type d’estimation. Prenez donc le temps de vous inscrire ! C’est en ligne, c’est gratuit et cela peut vous rapporter jusqu’à 100 000 euros d’espaces publicitaires sur RMC. Dernier conseil : n’attendez pas la dernière minute pour vous inscrire afin que nos équipes puissent vérifier votre dossier et éventuellement vous demander des compléments d’information. Ceci pour que votre candidature soit la plus complète possible, et ait ses chances devant le jury. Les catégories Entreprise « Artisanale » : Cette entreprise (souvent une TPE) excelle par des méthodes de fabrication traditionnelles, ancestrales ou, au contraire, a développé un savoir-faire innovant voire disruptif. Des entreprises artisanales nous étonnent chaque année. Entreprise « Créative » : Cette entreprise fonde sa réussite sur une idée novatrice : une nouvelle technologie, un nouveau processus de fabrication, de service ou d'organisation. Entreprise « Responsable et Durable » : L’entreprise a instauré des pratiques pour respecter les principes du développement durable, afin d’avoir un impact positif sur la société, les collaborateurs et sur l’environnement. Économiquement viable, elle est aussi socialement responsable dans ses actions qui vont au-delà de ses obligations. Elle investit, par exemple, dans le capital humain ou encore dans la qualité de ses relations avec ses parties prenantes (fournisseurs, prestataires, clients). Entreprise « À l’export » : L’entreprise se développe hors de nos frontières et de conquérir de nouveaux marchés. Elle offre des produits à forte valeur ajoutée en s'appuyant sur un savoir-faire français. Entreprise « Fabriqué en France » : L’entreprise doit concevoir et fabriquer ses produits en France. Pour entrer dans cette catégorie, elle doit commercialiser un produit qui tire ses caractéristiques essentielles d’un atelier, ou d’une usine-exploitation situés en France. Enfin, entre 50% et 100% du prix de revient unitaire (prix sortie d’usine) doit être réalisé en France (conception, fabrication et/ou transformation) Les coûts de R&D « Fabriqué en France » sont aussi pris en compte. L’entreprise candidate doit démontrer qu’elle respecte totalement ces conditions. Entreprise « Jeune Pousse » : Elle est dirigée par un jeune entrepreneur qui a su transformer une bonne idée en véritable business. Parce qu'une jeune pousse innove, invente, s'investit dans notre économie et créera certainement des emplois demain, ce prix a pour ambition de récompenser l'audace d'un entrepreneur « aventurier » qui ose et se donne tous les moyens de réussir. Vous pouvez vous inscrire jusqu’au 31 juillet 2019. Vos candidatures seront examinées par un Jury régional qui élira ses lauréats régionaux. Ces derniers seront automatiquement en lice pour la finale nationale animée par Jean Jacques Bourdin, le 16 octobre prochain à Paris,
- Vacances illimitées ? Si je veux...
Les annonces d'emploi mettant en avant une politique de congés illimités sont en nombre croissant. Inspiré d'une pratique née aux Etats-Unis, le phénomène tend à se développer en France depuis quelques années, notamment dans les start-up. Un concept qui suscite beaucoup d'interrogations. Chef d'Entreprise Magazine a donné la parole à Anne Leleu-Eté du cabinet ALE Avocats. Extraits. Il est vrai que ce concept, sur le papier, présente certains atouts. D'une part, les générations qui entrent actuellement sur le marché du travail sont en demande de ce type d'avantage. La flexibilité et l'équilibre entre vie privée et vie professionnelle représentent des points souvent cruciaux dans le choix de l'emploi. Les obligations légales de l'employeur Le système français n'est pas parfaitement adapté à ce type de concept. Certaines règles relatives à la prise des congés doivent être aménagées si aucun contrôle de la prise des congés n'est réalisé par l'employeur. Pour être cohérente avec une politique de congés illimités, la période de prise du congé principal de quatre semaines, devra être étendue à 12 mois et ne plus être limitée au 1er mai - 31 octobre. Le risque le plus important réside cependant dans l'obligation qu'a l'employeur d'assurer la prise, par le salarié, de l'ensemble de ses congés payés annuels. Les nécessités de bon fonctionnement de l'entreprise L'instauration d'une politique de congés payés illimités doit en tout état de cause être réfléchie au niveau organisationnel. L'impact de congés additionnels peut être important sur l'exécution des tâches. Flexibilité ne veut pas dire absence de contrôle. Relances, alertes, compteur individuel : les outils visant à assurer de la prise effective par le salarié d'au moins cinq semaines de congés par an devront être mis en place. À noter également, un salarié qui aurait pris moins de congés qu'un autre ou qui se serait vu refuser la prise de congés supplémentaires pourrait tenter de se retourner contre son employeur. La politique globale devra prévoir des outils visant à garantir une certaine harmonie entre les collaborateurs. En tout état de cause, avant de se précipiter, il ne faudra pas oublier de chiffrer le coût de la mise en oeuvre d'une politique plus avantageuse en matière de congés payés, quelle qu'elle soit.
- Le taux de chômage au plus bas depuis 2009 !
Le taux de chômage est en recul de 0,1 point à 8,7% de la population active en France entière (hors Mayotte), son plus bas niveau depuis début 2009. Extrait de l'analyse pertinente de François Lenglet sur RTL. Le taux de chômage au premier trimestre 2019 vient de tomber. Il est de 8,7%,en baisse de 0,1%. C'est un peu moins que la diminution du trimestre précédent (0,3%) mais avec 8,7%, nous sommes à un taux inférieur de 0,5 point par rapport à l'an passé. Ce n'est pas si mal, c'est d'ailleurs le plus bas niveau depuis le début 2009. En France métropolitaine, on compte 2,4 millions de chômeurs, un chiffre en légère baisse de 19.000 personnes, et cela s'explique très probablement par la création d'emplois au premier trimestre. [...] Cela s'explique par la baisse du coût du travail, le CICE de François Hollande notamment, qui permet aux entreprises de déduire une partie des salaires de leurs impôts sur les bénéfices, ça a abaissé le seuil de déclenchement de l'embauche chez les patrons. L'autre raison, essentielle, c'est la transformation de notre économie. Nous créons désormais des emplois très très majoritairement dans les services, et non plus dans l'industrie. [...] Mais quand on compare avec nos voisins en matière de chômage, la moyenne de l'Europe se situe à 6,6%, soit plus de deux points de moins que le taux français. Quant à la moyenne de l'OCDE, qui regroupe 37 pays dans le monde, elle est à 5,2%. Pour résumer, nous avons encore quelques progrès à faire.
- Les Rebondisseurs Français fêtent leur 1 an !
Lancé le 15 mai 2018, l’association des Rebondisseurs Français est le 1er mouvement national, entrepreneurial et citoyen, qui valorise, au travers d’actions concrètes, le rebond comme moteur de réussite et de croissance et veut en faire la nouvelle mesure du succès des entrepreneurs. Créée par 4 entrepreneurs convaincus de la nécessité de faire changer le regard sur l’échec, réunissant une communauté de plus de 500 membres début 2019, elle s’appuie sur la force de l’exemple et du partage d’expérience. L’intuition s’est confirmée : le besoin de libérer la parole et de rebondir dans un esprit positif tout en partageant ensemble les retours d’expériences, et pourquoi pas faire du business en partageant la même valeur, est bien là ! En 12 mois, le mouvement 100% entrepreneurial des Rebondisseurs Français a fédéré une communauté de +600 personnes, toutes convaincues de la nécessité de faire du rebond la nouvelle mesure du succès des entrepreneurs. « L’échec est inhérent à la création d’entreprise et les entrepreneurs le savent. Reste à mettre de côté l’égo et à assumer. Il est grand temps d’apprécier le potentiel d’un entrepreneur non pas uniquement sur la base des succès qui remplissent son CV, mais aussi et surtout sur ses échecs post-succès, sur cette capacité de rebond et de faire face aux difficultés, toutes ces expériences qui ont fait l’entrepreneur d’aujourd’hui », martèle Isabelle Saladin, entrepreneure Présidente de l’association. L’élan que les Rebondisseurs Français ont créé et la nouvelle tonalité qu’ils ont donnée à l’échec leur a valu, très rapidement, l’adhésion et le soutien de personnalités du monde économique, et même de sportifs de haut niveau ! Véritable locomotive, leur action vient en effet compléter celle d’associations partenaires comme 60 000 Rebond, Second Souffle ou encore APESA. Leur objectif, en changeant le regard sur les entrepreneurs qui ont connu des difficultés, est qu’un entrepreneur ne soit plus freiné dans son rebond, que ce soit en postulant à un emploi ou en relançant un projet d'entreprise. La Fabrique de Contenus dirigée par Michel Picot et qui édite ce site et produit l'émission TV : "Business Club de France des Entrepreneurs" est heureuse de faire partie des Ambassadeurs des Rebondisseurs. "Dès le début, j'ai aimé l'idée. L'échec n'est pas une fatalité. D'ailleurs : si nous bannissions le mot échec pour n'utiliser que le terme : expérience. Expérience qui peut être positive comme négative, mais il s'agit bien d'expérience dans un parcours professionnel. Et quoi qu'il arrive, savoir "rebondir" est déjà un atout, une qualité, une audace, un potentiel que peu de Français ont. Alors, plutôt qu'une critique facile, un mot d'encouragement pour souligner l'ambition de "rebondir" changerait bien l'image que l'on a collé à celles et ceux qui ont osé entreprendre, créer des emplois ! Alors pourquoi critiquer parce qu'ils ont échoué ? (souvent ce n'est pas leur faute). Faut bien le dire, quand on ose, on prend des risques. Quand on n'ose jamais, le risque est minime voire nul, mais la critique semble encore bien trop facile pour certains. À la Fabrique, à notre manière, nous avons osé en transformant totalement l'émission de radio que j'ai animée durant 10 ans sur BFM Business, pour en faire un programme télé qui est diffusé à ce jour sur 20 TV locales de France. C'est risqué car le programme démarre et nous recherchons des partenaires. Mais on l'a fait" précise Michel Picot, dirigeant de la Fabrique de Contenus et Producteur et Présentateur de l'émission. « Si les discours commencent à changer en France, avec une rhétorique du rebond qui émerge, ils restent bien souvent au stade d’éléments de langage dans les médias. Il faut qu’ils soient suivis d’actes et que l’on arrête de stigmatiser un entrepreneur qui a connu un échec – à la banque, sur le marché du travail, au sein de réseaux professionnels, etc. C’est ce pour quoi se mobilisent tous ceux qui rejoignent le mouvement des Rebondisseurs Français : non seulement ils assument l’échec, mais ils veulent agir pour que le rebond prime enfin, car la vraie valeur économique se trouve là », ajoute Isabelle Saladin. La prochaine grande étape étant : Faire du 15 mai la journée nationale du rebond entrepreneurial en France !
- Do you speak French ? Le français bientôt 2e langue la plus parlée au monde
Le saviez-vous ? Entre 477 et 747 millions de personnes parleront la langue de Molière dans 50 ans, contre 300 millions aujourd’hui. Une croissance qui s’explique par le triplement annoncé de la population africaine, alors que le français est langue officielle de 21 pays du continent. Aujourd’hui 5e langue mondiale en nombre de locuteurs, le français est et restera l’idiome couvrant le plus de territoires, juste derrière l’anglais (le mandarin n’étant utilisé qu’en Chine et l’espagnol sur seulement deux continents). Le commerce entre pays francophones représente 20% des échanges mondiaux. (source Observatoire de la Francophonie) Clin d'oeil : Pour aller plus loin. Et si on regardait aussi nos langues régionales (carte insolite...)
- Anki ferme et dit adieu à son robot Cozmo
La start-up américaine a annoncé la fermeture de l'entreprise laissant sur le carreau plus de 200 salariés. Cette fermeture entraine la fin de l'aventure de Cozmo, ce petite robot "attachant" Anki, la start-up à l’origine de Cozmo le petit robot de compagnie, cesse à partir d’aujourd’hui ses activités. Dans sa chute, l’entreprise entraîne le licenciement de 200 employés. Son CEO, Boris Sofman a annoncé en personne cette nouvelle à son personnel. L’entreprise se confie à Engadget concernant les raisons de la faillite : « Une opération financière importante à un stade avancé a échoué avec un investisseur stratégique et nous n’avons pas été en mesure de parvenir à un accord ». nous dit le siècle digital. Cette fermeture est d'autant plus surprenante que la start-up a levé à l'automne 2017 près de 100 millions de dollars. Au total Anki a reçu près de 200 millions de dollars de financement au cours de son existence. Des investisseurs comme Index Ventures et Andreessen Horowitz ont apporté leur contribution. L’entreprise s’est distinguée par ses innovants petits robots, Vector et Cozmo. Proposés à 249 et 180 dollars, ils n’ont cependant pas réussi à séduire le grand public nous dit Tom's guide.
- Notre Dame : le kilomètre zéro
Paris, la France, le Monde sont encore bouleversés par l'incendie qui a ravagé la Cathédrale. L'heure est au bilan avant de réfléchir aux projets de reconstruction et enfin de relever cet immense défi. Il faudra du temps, beaucoup de temps certainement, avant de retrouver la splendeur de Notre Dame de Paris. Un lieu symbolique pour beaucoup d'entre nous. Un lieu qui est devenu aussi le "kilomètre zéro" et qui fêtera le 22 avril ses 250 ans. Le saviez-vous ? C’est à partir du parvis de Notre-Dame que sont calculées les distances entre Paris et les autres villes françaises. La célèbre Nationale 7 à destination de Menton naît ainsi devant Notre-Dame. BFMTV Auto nous apprend que ce point zéro fût instauré bien avant l’invention de l’automobile, par une lettre patente de Louis XV, datant du 22 avril 1769. Il est édifié sur ce qui servait auparavant d’Echelle de justice, un lieu où des criminels étaient exposés une fois condamné. La première borne indiquant clairement le "point zéro" date elle de 1786. La plaque actuelle, ornée de la rose des vents, fût posée en 1924. Le site Caradisiac nous apprend qu'à cet emplacement même une Chapelle Saint-Christophe existait entre les IX et XI ème siècle à proximité immédiate du parvis de Notre Dame. Or, on rappelle que Saint Christophe est l'allié des voyageurs. Cette chapelle accueillait effectivement des voyageurs et Saint Christophe était censé les protéger de la mort subite, laquelle peut aller de pair avec les accidents de voiture ? Revivez la construction de la Cathédrale Notre Dame de Paris
- Les défaillances d'entreprise en hausse !
NetPME fait le point sur les nombre de défaillances d'entreprises sur la période Janvier 2018 - Janvier 2019. 54 371 défaillances d’entreprises ont été recensées par la Banque de France en janvier 2019 contre 54 032 en janvier 2018. Le nombre de défaillances a donc augmenté de + 0,6 % en un an. Cette hausse contraste avec le net recul de – 6,5 % affiché l’an passé sur la même période (jan.18/jan.17). Surtout, toutes les catégories d’entreprises comptant moins de 250 salariés ont été touchées cette fois-ci, avec en chef de file les PME comptant plus de 50 salariés. Côté secteur d’activité, les défaillances d’entreprises dans les transports et entreposage ont connu de loin la plus forte recrudescence. De janvier 2018 à janvier 2019, les défaillances des moyennes entreprises (entre 50 et 249 salariés) ont explosé (+ 14,1 %). Dans une moindre mesure, l’année écoulée fut préjudiciable pour toutes les TPE/PME : les petites entreprises comptant entre 10 et 49 salariés (+ 4,8 %), les TPE de moins de 10 salariés (+ 2,5 %) ou les microentreprises (+ 0,4 %). Seules les ETI (entre 250 et 4 999 salariés) et les GE (+ de 5 000 salariés) s’en sortent indemnes (- 4 %). L’année 2018 est décidément l’année du secteur des transports et de l’entreposage. Plusieurs secteurs ont connu peu ou prou le même sort. Les activités financières et de conseil ont souffert (+ 6,7 %), tout comme l’hébergement-restauration (+ 2,1 %) ou l’industrie (+ 1,4 %). Par contre, les défaillances ont reculé sur la même période dans les secteurs de l’agriculture (-4,7 %), l’information et communication (-3,2 %), le commerce (-1,7 %) et la construction (-1,7 %). Article complet de Matthieu Barry [NDLR] Reste à analyser désormais pourquoi le nombre de faillites à progresser dans notre pays. Les mouvements sociaux de blocage des axes routiers ont-ils eu raison de la défaillance qu'ont connu bon nombre d'entreprises du secteur du transport et de l'entreposage ?