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184 éléments trouvés pour «  »

  • Bien communiquer sur les réseaux sociaux

    Bon nombre de petites PME s'interrogent sur l'utilisation des réseaux sociaux pour se faire connaitre, prendre la parole et pourquoi pas développer de nouveaux business ? Attention toutefois une bonne communication n'est pas synonyme de nouvelle commande à la clé ! Elle a pour objectif de renforcer votre image et développer votre proximité avec vos clients. Les réseaux sociaux permettent de développer une "complicité" innovante et très utile. Mais comment trouver les bons contenus ? Webmarketing&Com s'est penché sur la question. Extraits. La règle d’or en matière de réseau social est simple, pourtant trop souvent ignorée ! Par manque de temps ou de connaissances, les entreprises ont tendance à publier les mêmes contenus sur tous leurs réseaux sociaux. Si vous voulez réussir votre stratégie de Community Management, il va falloir procéder différemment. Facebook, Instagram, Pinterest, Twitter ou LinkedIn ont chacun leur fonctionnement et leur cible propre ! Non seulement le format n’est pas le même, mais les attentes des internautes dépendent aussi de la plateforme de diffusion. Apprenez à saisir les subtilités de chaque canal : plus vous serez habitués à son fonctionnement, plus le travail vous semblera facile et instinctif ! Les internautes sont friands de contenu original, qu’ils ne verront nulle part ailleurs. Votre touche personnelle compte pour beaucoup dans la fidélisation de votre audience : vos réseaux sociaux doivent diffuser VOTRE message, VOS valeurs. Des outils gratuits existent pour produire des visuels de qualité, sans trop d’efforts. Ne négligez pas non plus la rédaction d’articles de blog, à partager sur Facebook, LinkedIn ou Twitter. L’humour est l’arme fatale du Community Manager. Les utilisateurs de réseaux sociaux s’attendent à du contenu frais, fun et pétillant… dans la limite de votre ligne éditoriale ! Il n’est pas si difficile de trouver des contenus humoristiques, tout en respectant l’image de votre entreprise. En résumé : pour trouver les meilleurs contenus, il faut connaître votre audience. Quels sont ses centres d’intérêt ? Ses attentes ? Ses habitudes ? Imprégnez-vous de l’identité de votre marque, la recherche de contenus s’imposera d’elle-même !

  • Le TOP 25 des entreprises Françaises les plus attractives selon LinkedIn

    Où les Français rêvent-ils de travailler? Pour la 4ème année consécutive, LinkedIn publie son classement des 25 entreprises les plus courtisées de France. Chaque année, LinkedIn analyse les milliards d’actions effectuées par les membres LinkedIn du monde entier pour découvrir les entreprises qui non seulement suscitent l’intérêt des candidats, mais savent aussi retenir leurs talents. Ce classement est unique en son genre. Voici donc le 4e classement annuel des employeurs les plus convoités en France. L'analyse des actions des utilisateurs de LinkedIn ont été anonymisées et agrégées des membres selon quatre critères : l’attractivité de l’entreprise, les interactions avec ses employés, l’intérêt pour les offres d’emploi publiées et la rétention des talents. ( LinkedIn et sa société mère, Microsoft ne font pas aprti du classement) Le TOP 25 des entreprises Françaises les plus attractives N°1 > BNP PARIS Effectifs en France: 58.400 | Principaux sites: Paris, Lyon, Bordeaux | Fonctions qui recrutent le plus:Finance, Technologie de l’information, Gestion de projets | Une info étonnante: En 2018, plus de 24.700 salariés ont participé à des actions solidaires durant leur temps de travail pour un total de 300.000 heures. D’ici 2020, le groupe prévoit de financer 1 million d’heures de solidarité. N°2 > SOCIÉTÉ GÉNÉRALE Société Générale est la maison-mère de Boursorama. Effectifs en France: 59.300 | Principaux sites: Paris, Lille, Marseille | Fonctions qui recrutent le plus: Finance, Ingénierie, Opérations | Une info étonnante: 380 employés musiciens de Société Générale sont montés sur la scène de la Philharmonie de Paris en décembre 2018 pour un concert privé destiné aux salariés. N°3 > BPCE Le groupe BPCE est la maison-mère de Banque Populaire, Caisse d’Epargne, Natixis, Bred ou encore Coface. Effectifs en France: 95.000 | Principaux sites: Paris, Lyon, Marseille | Fonctions qui recrutent le plus: Finance, Services à la communauté et services sociaux, Vente | Une info étonnante:BPCE a mis en place un programme d’ambassadeurs qui permet aux candidats de contacter des salariés en poste dans la banque pour leur poser des questions sur leur métier. N°4 > LVMH Le groupe LVMH est notamment la maison-mère de Louis Vuitton, Christian Dior Couture, Fendi, Moët-Hennessy, Givenchy, Chaumet, Berluti, Sephora, Marc Jacobs, Guerlain, Hublot, le groupe Bon Marché ou encore le groupe Les Echos. Effectifs dans le monde: 145.300 | Principaux sites en France: Paris, Orléans, Reims | Fonctions qui recrutent le plus: Commerciaux, Opération, Arts et design | Une info étonnante: LVMH a investi 121,5 millions d’euros dans la formation en 2017, dont 36,2% en France. Plus de 1.250 jeunes bénéficient ainsi d’un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation. N°5 > CRÉDIT AGRICOLE Le groupe Crédit Agricole est notamment la maison-mère de LCL et BforBank. Effectifs en France: 36.300* | Principaux sites: Paris, Lyon, Lille | Fonctions qui recrutent le plus: Finance, Services à la communauté et services sociaux, Conseil | Une info étonnante: Pour favoriser la diversité, le Crédit agricole organise des sessions de recrutement anonymes basées uniquement sur les compétences et la personnalité. N°6 > AXA Effectifs en France: 23.800 | Sites principaux: Paris, Lyon, Bordeaux | Fonctions qui recrutent le plus: Ventes, Finance, Ingénierie | Une info étonnante: AXA a quadruplé ses investissements verts (12 milliards d’euros en 2020) et n’assure plus aucun projet de construction de centrale à charbon ni d’entreprise d’extraction de sables bitumineux et de pipelines associés. N°7 > ENGIE Effectifs en France: 74.000 | Sites principaux: Paris, Lyon, Nantes | Fonctions qui recrutent le plus: Ingénierie, Opérations, Ventes | Une info étonnante: Une large consultation interne, appelée “Imaginative 2030”, a permis de collecter la vision des salariés sur le monde en 2030 et les défis à relever. N°8 > BOUYGUES Le groupe Bouygues est la maison-mère de Bouygues Construction, Bouygues Telecom, Bouygues Immobilier, TF1 et Colas Effectifs en France: 68.500 | Principaux sites: Paris, Lyon, Rouen | Fonctions qui recrutent le plus: Opérations, Ingénierie, Arts et design | Une info étonnante: Trente-cinq projets d’intrapreneuriat sont actuellement en cours de développement dans le groupe. N°9 > L'ORÉAL L’Oréal est la maison-mère de Lancôme, Yves Saint-Laurent Beauty, Khiel ou Decléor. Effectifs en France: 13.000 | Principaux sites: Paris, Lille, Lyon | Une info étonnante: L’Oréal est le seul groupe au monde qui couvre l’intégralité des métiers de la beauté, avec plus de 30 marques distribuées dans les salons de coiffure, les instituts, les spas, les pharmacies, mais aussi via la grande distribution ou l’e-commerce. N°10 > ORANGE Effectifs en France: 92.000* | Principaux sites: Paris, Lyon, Rennes | Fonctions qui recrutent le plus: Ingénierie, Ventes, Technologies de l’information | Une info étonnante: Après le bip, En tête à tête, Premiers crampons… Orange a développé plusieurs podcasts qui mettent en lumière les collaborateurs du groupe. N°11 > VINCI Effectifs dans le monde: 211.300* | Principaux sites en France: Paris, Marseille, Lyon | Compétences qui montent: Accompagnement, Relations humaines, Solutions SAP |Une info étonnante: En 2017, Vinci a lancé un laboratoire-incubateur baptisé Leonard qui permet aux employés et à des startups d’expérimenter leurs innovations. N°12 > AIRBUS Effectifs en France: 48.000* | Principaux sites: Toulouse, Paris, Marseille | Fonctions qui recrutent le plus: Ingénierie, Opérations, Technologies de l’information | Une info étonnante: à Toulouse, Airbus Commercial Aircraft, c’est 21.000 salariés et 700 hectares d’usines. N°13 > SAFRAN Effectifs en France: plus de 44.000 | Principaux sites: Paris, Toulouse, Pau | Fonctions qui recrutent le plus:Ingénierie, Opérations, Technologies de l’information | Une info étonnante: Safran a développé une application mobile pour permettre aux salariés de relever divers défis sportifs. N°14 > NEXITY Effectifs dans le monde: 7.300* | Principaux sites: Paris, Lyon, Lille | Fonctions qui recrutent le plus: Administratif, Immobilier, Management de projet | Une info étonnante: Nexity a lancé un programme de mentorat inversé: 15 jeunes salariés accompagnent 15 managers et dirigeants sur les réseaux sociaux. N°15 > ACCOR Effectifs en France: 34.700 | Principaux sites: Paris, Lyon, Marseille | Fonctions qui recrutent le plus: Opérations, Administratif, Gestion de projets | Une info étonnante: le programme INSPIRE permet aux jeunes diplômés d’accéder à des postes de management de façon accélérée. Pendant 12 à 18 mois, ils sont accompagnés par un mentor et se voient confier des responsabilités variées pour apprendre les ficelles du métier. N°16 > CHANEL Effectifs en France: 5.000 | Principaux sites: Paris, Nice, Lyon | Fonctions qui recrutent le plus: Ventes, Opérations, Gestion de projets | Une info étonnante: Depuis le 1er janvier 2018, CHANEL offre 14 semaines de congé parental rémunérées pour tous les nouveaux parents qui voient leur famille s’agrandir. N°17 > CARREFOUR Effectifs en France: 110.000* | Principaux sites: Paris, Lyon, Marseille | Fonctions qui recrutent le plus: Ventes, Assistance, Opérations | Une info étonnante: Le groupe propose aux jeunes diplômés à fort potentiel d’intégrer le programme “Graduate” afin d’accéder rapidement à des postes à responsabilité. N°18 > CASINO Le groupe Casino est la maison-mère de Monoprix, Franprix ou encore Cdiscount. Effectifs en France: 75.000* | Principaux sites: Paris, Bordeaux, Lyon | Fonctions qui recrutent le plus: Ventes, Assistance, Opérations | Une info étonnante: Depuis ses débuts, Casino innove beaucoup: 1ère marque de distributeur en 1901, 1er magasin libre-service en 1948, jusqu’au 1er magasin sans caissier en 2018. N°19 > CAPGEMINI Capgemini est la maison-mère notamment de Sogeti. Effectifs en France: 24.600 | Principaux sites: Paris, Toulouse, Lyon | Fonctions qui recrutent le plus: Ingénierie, Technologies de l’information, Conseil | Une info étonnante: Le groupe a mis en place un accord d’entreprise qui permet à tous les salariés de télétravailler entre 1 et 3 jours par semaine. N°20 > ALPHABET Alphabet est la maison-mère de Google, YouTube ou encore Nest. Effectifs dans le monde: 98.000* | Principaux sites en France: Paris, Lyon, Lille | Fonctions qui recrutent le plus: Ventes, Médias et communication, Ingénierie | Une info étonnante: Alphabet développe dans son siège parisien des activités “made in France”, comme des formations gratuites au numérique, pour ensuite les étendre en Europe et en Afrique. N°21 > TOTAL Effectifs dans le monde: 104.500* | Principaux sites en France: Paris, Pau, Lyon | Fonctions qui recrutent le plus: Opérations, Ingénierie, Administratif | Une info étonnante: Le groupe Total, qui a racheté Direct Energie en 2018, est présent dans plus de 130 pays, compte plus de 150 nationalités et 650 compétences différentes. N°22 > SANOFI Effectifs dans le monde: 104.300 | Principaux sites en France: Paris, Lyon, Rouen | Fonctions qui recrutent le plus: Opérations, Ingénierie, Gestion de projets | Une info étonnante: Le programme “Elevate” vise à développer les femmes futurs leaders de l’entreprise pour arriver à parité d’ici 2025. D’après le rapport annuel, 20% des quinze membres du comité exécutif sont actuellement des femmes. N°23 > SALESFORCE Effectifs en France: 900 | Principaux sites: Paris, Lyon, Grenoble | Fonctions qui recrutent le plus: Ventes, Ingénierie, Développement commercial | Une info étonnante: Chaque salarié dispose chaque année de 7 jours de congés payés dédiés au bénévolat. A pratiquer seul, pour la cause de son choix, ou avec son équipe. N°24 > EY Effectifs en France: 6.000 | Principaux sites: Paris, Lyon, Lille | Fonctions qui recrutent le plus: Comptabilité, Conseil, Finance | Une info étonnante: Les bureaux d’EY se situent à la Défense dans une tour de 231 mètres, la plus haute de France. N°25 > RENAULT Effectifs en France: 47.700* | Principaux sites: Paris, Rouen, Lille | Fonctions qui recrutent le plus: Ingénierie, Opérations, Gestion de projet | Une info étonnante: Chez Renault, le comité exécutif compte 25% de femmes, c’est davantage que la proportion de femmes cadres dans l’entreprise. Méthodologie: Pour établir ce classement, LinkedIn évalue les entreprises dans quatre domaines: l’intérêt pour l’entreprise, les interactions avec ses employés, l’intérêt pour les offres d’emploi publiées et la rétention des salariés. L’intérêt pour l’employeur est mesuré par le nombre de nouveaux abonnés, non salariés de l’entreprise, à sa page LinkedIn. L’engagement avec les salariés correspond au nombre de consultations des profils des salariés par des non-salariés. L’intérêt pour les offres d’emploi prend en compte la fréquence à laquelle les candidats consultent les offres d’emploi (diffusées gratuitement ou payantes) et y postulent. La rétention des salariés est mesurée par la part des salariés qui restent pendant au moins un an dans l’entreprise. Pour être éligibles, les entreprises doivent compter au moins 500 salariés au 1er février et ses effectifs ne doivent pas avoir diminué au cours des 12 derniers mois (d’après les données LinkedIn Talent Insights). Seules les sociétés-mères peuvent faire partie du classement, les filiales majoritaires étant incluses dans le résultat global. Toutes les données sont pondérées en fonction de la taille des entreprises. La méthodologie et les données concernent la période du 1er février 2018 au 31 janvier 2019. Toutes les données sont agrégées et anonymisées afin de protéger les informations privées des membres. Ont été exclus: les cabinets de recrutement, les organismes à but non lucratif, les établissements d’enseignement et les organismes publics. Comme pour toutes nos listes, LinkedIn et sa maison-mère Microsoft ne sont pas prises en considération

  • ManoMano lève 110 millions d'€ !

    Il est bien loin le temps où l'entreprise s'appelait mon échelle. fr ! En 2012, lors de sa création, les deux fondateurs, qui s'étaient lancé dans ce défi fou de vendre en ligne du matériel de bricolage, avaient eu du mal à convaincre des investisseurs d'injecter dans leur petite entreprise 150 000 euros. Aujourd'hui ils lèvent 110 millions d'euros. Selon les informations de BFM Business : Le groupe a levé 186 millions d'Euros sur 5 ans et avance à marche forcée sans se soucier de sa rentabilité, c'est le modèle Amazon, grossir d'abord, gagner de l'argent plus tard : « ce qui compte avant tout c’est la croissance qui nous permettra de nous imposer en champion européen, voire plus. La rentabilité, elle viendra le jour où nous aurons décidé que nous avons atteint cette taille et que nous ne chercherons plus à croître » assure encore Philippe de Chanville. L'objectif immédiat c'est d'aller chercher 1 milliard d'Euros de chiffre d'affaires en 2020. ManoMano vient d'ouvrir des bureaux à Bordeaux pour aller y chercher les meilleurs développeurs et attirer ceux qui veulent fuir la vie parisienne : « nous avons recruté 180 personnes en 12 mois et il est de plus en plus difficile de recruter à Paris où la concurrence dans la tech est rude. A Bordeaux il y a un écosystème solide, une vraie histoire du numérique, il est plus facile de recruter des talents voire de les faire quitter Paris » explique Philippe de Chanville l’un des cofondateurs. ManoMano, la place de marché française spécialisée dans le bricolage et le jardinage, annonce « le franchissement d’une nouvelle étape de sa croissance » avec le lancement de ManoManoPro, plate-forme spécifiquement dédiée aux professionnels. L’objectif du groupe, affirme-t-il, dans un univers du bâtiment « très en retard dans son processus de digitalisation » : « Disrupter le processus d’achat des entreprises du bâtiment pour les libérer de leurs contraintes quotidiennes. » Par ailleurs, le groupe entend bien accélérer son développement international . Déjà en Europe; 5 marchés représentent déjà 25% de son chiffre d'affaires (Belgique, Espagne, Italie, Allemagne, Royaume-Uni) et ce n'est qu'un début !

  • Les télétravailleurs plus efficaces que les salariés au bureau ?

    Encore trop de dirigeants d'entreprise n'ont pas pris conscience du télétravail. Pour la plupart d'entre eux, le télétravail est perçu comme une journée de repos, à la maison... Et si les espaces de coworking étaient une solution pour travailler autrement ? . Influencia s'est penché sur cette question. Extraits. Beaucoup en rêvent mais leurs employeurs sont encore réticents à leur lâcher la bride. 61% des Français souhaiteraient télétravailler, selon les chiffres officiels du Ministère du Travail, mais à peine 17% d’entre eux peuvent goûter aux joies du home office. En effet, le pourcentage de télétravailleurs serait compris entre 8% et 17,7% si l’on en croît les données rassemblées par l’Observatoire du télétravail. Ce chiffre est inférieur à la moyenne européenne qui approche 20%. En Scandinavie, ce taux atteint 30% voire même 35%. Les entreprises auraient pourtant tout intérêt à permettre à leurs collaborateurs de rester à leur domicile ou de se rendre dans un espace de coworking au lieu de les contraindre à aller au bureau tous les jours. Et pourtant... Une enquête de Regus, spécialisé dans les espaces de travail flexibles avec près de 3000 centres d’affaires situés dans 900 villes réparties dans 120 pays, montre que le travail à domicile et le coworking permettraient de rapporter jusqu’à 123 milliards d’euros en France d’ici à 2030. Près de 100 millions d’heures de travail seraient notamment économisées en temps de déplacement et les rejets de gaz seraient réduits de 7 millions de tonnes par an. D’importants gains de productivité seraient également trouvés grâce au travail partagé qui pourrait représenter entre 10,9 et 11,5% des emplois dans l’hexagone d’ici à 2030.

  • La révolution de l'audio

    Chaque mois, 96 % des internautes de plus de 15 ans écoutent de l’audio à la demande, et plus d’un sur cinq sélectionne des émissions radio en replay ou télécharge des podcasts, selon une étude Médiamétrie rendue publique ce 26 mars 2019. Télérama fait le point sur cette étude. Extraits. Plus d’un internaute sur cinq de plus de 15 ans (22,8 %) écoute des contenus en replay radio et/ou podcasts natifs, selon l’étude Global Audio que vient de publier Médiamétrie. Et, plus largement, 96 % d’entre eux écoutent de l’audio à la demande (dont de la musique) chaque mois. « L’audio est aujourd’hui à l’honneur avec les enceintes connectées, les podcasts natifs [produits uniquement pour une écoute numérique, ndlr], les livres audio, le streaming musical ou les bibliothèques personnelles », précise Julie Terrade, directrice du pôle national au sein du département radio de Médiamétrie. [...] Cette écoute se fait beaucoup à domicile (87,7 %) et en voiture (82,1 %). « Il y a une duplication des pratiques, indique Emmanuelle Le Goff, directrice du département radio de Médiamétrie. Plus de 93 % des auditeurs de podcasts natifs écoutent aussi la radio ou de la musique via des plateformes de streaming musical (73 %) ou des livres audio (22 %). » Leurs thèmes préférés ? La culture, la fiction, la musique et l’histoire. Très généraliste, l’étude n’a pas porté sur le type précis de contenus écoutés. Impossible donc de savoir quels studios de podcasts (Arte Radio, Binge Audio, Nouvelles Ecoutes, Louie Media, BoxSons…) ou podcasts fédèrent le plus grand nombre d’auditeurs. Une problématique à laquelle se confrontent ces nouveaux acteurs, faute d’un outil de mesure d’audience certifié pour le moment. « Nous fournissons actuellement l’étude E-stat sur les podcasts des radios, précise Julie Terrasse de Médiamétrie. Nous cherchons à l’étendre à l’audio à la demande, et nous sommes en discussion avec les pure players et éditeurs de podcasts natifs. » Car, comme nous le précisait en 2018 Joël Ronez, cofondateur de Binge Audio, « sans mesure partagée, pas de business »…

  • Vivez, respirez, travaillez et restez zen !

    Et si on s'inspirait des "bonnes pratiques" au travail dans d'autres pays ? Que font-ils dans leur quotidien "boulot" et "perso". Voici quelques pistes pour - peut-être - améliorer notre qualité de vie au travail ? Blog-Emploi fait le point. Extraits Pas de présentéisme inutile au Québec En inventant le 5 à 7, les Québécois ont eu une idée de génie ! Quand, de ce côté de l’Atlantique, le nom évoque un adultère dans un hôtel miteux, il est au Québec un moment convivial entre collègues, à partager un verre avant de rentrer à la maison pour dîner (ou pour souper, en version québécoise). Silence : on bosse Ok les Japonais ne prennent que 47% des congés auxquels ils ont droit et leur approche du monde du travail peut vite sembler déroutante à nos yeux de râleurs grévistes, mais sachez qu’au Japon, il est très mal vu de parler fort en public. Donc, concrètement, dans l’open space personne ne vous casse les oreilles pendant que vous ratissez le sable de votre jardin zen. Et ça, ça repose. Et si on faisait une sieste ? L'Espagne, un pays où la sieste fait partie de l’emploi du temps au même titre que la pause déjeuner. Dormir après le déjeuner au lieu de faire semblant d’être toujours en vie derrière son écran ? Quel génie ! Dans la réalité, seuls 33% des Espagnols font la sieste tous les jours, contre 34% des Américains. Et pendant ce temps, en France on ne fait pas la sieste et on dort désormais moins de 7h par nuit. Et là c'est mal. L'heure c'est l'heure en Allemagne La ponctualité est très importante pour les Allemands. Et la ponctualité, ça rend heureux ! On ne perd plus son temps ni à attendre, ni à se poser des questions. Imaginez la simplicité de ce quotidien. Ça fait rêver. Non ? Cool, restez zen en Norvège En Norvège, les salariés bénéficient de 25 jours de congés maladie par an, qu’ils n’ont pas besoin de justifier par un passage chez le médecin. On est loin des trois jours de carence à la française ! Les champions du télétravail sont au Brésil 80% d’entre eux disent travailler souvent ou de temps en temps en dehors du bureau.Chez eux, dans un espace de co-working, dans l’entreprise voisine… Et pourquoi ? En attendant tous les métiers ne s'y prêtent pas. Heureux comme un Finlandais Ils habitent dans dans un pays riche où la qualité de vie est excellente, ils ont confiance dans leurs institutions, l’égalité salariale n’est même pas un sujet… A cela s’ajoutent des horaires de travail flexibles et de généreux congés parentaux pour les hommes comme pour les femmes. Clairement, s’il y a des salariés à jalouser, ce sont les Finlandais. Quand c'est férié, c'est férié Tenez-vous bien : en Australie, (en Espagne aussi d'ailleurs) quand un jour férié tombe un samedi ou un dimanche, le lundi est chômé pour compenser ces innommables aléas du calendrier. On ne voit pas bien ce qu’il y a à ajouter. Le hic, c'est que lorsqu'on cumule toutes ces "bonnes pratiques", on ne bosse quasiment plus !

  • Les 20 territoires "French Impact"

    Territoire French Impact, a été lancé en 2018 pour labelliser les territoires qui souhaitent renforcer leur écosystème de l’innovation sociale, mettre en synergie des acteurs, favoriser l’émergence, le développement et l’essaimage des innovations sociales. Vingt territoires ont été retenus pour cette première vague de labellisation. instruite par le Haut-Commissariat à l’économie sociale et solidaire et à l’innovation sociale avec la contribution de l’AVISE. Une seconde vague de labellisation sera annoncée avant la fin 2019. Un plan d’accompagnement sur-mesure va être mise en place avec chaque territoire labellisé . Voici donc les 20 premiers territoires labellisés : Aix-Marseille-Provence Clermont-Ferrand Est Ensemble Figeac Le Mans -Sarthe Lyon-Métropole Mayotte Montreuillois Nantes Métropole Pays de Grasse Région Bretagne Région Normandie Région Nouvelle Aquitaine Roissy Pays-de-France Roubaix Strasbourg Eurométropole Territoire Lédonien - Cluster’Jura Territoire Olympique 2024 Valence-Romans Vallée de la Marne « C’est un label territorial inédit que nous lançons aujourd’hui. Nous avons, dans les territoires, un véritable foisonnement d’initiatives et d’acteurs qui innovent et créent des solutions efficaces pour répondre à nos problématiques sociétales et écologiques. Mais ces acteurs sont encore trop peu reconnus alors même qu’ils constituent une des clés de la réussite des territoires, et par là même du pays. Le label « Territoire French Impact » apporte une vision nouvelle qui permet de soutenir l’innovation sociale pour construire un modèle de société plus durable, juste et inclusif, et lutter contre les fractures territoriales. » Christophe Itier - Haut-commissaire à l’Économie sociale et solidaire et à l’innovation sociale

  • TPE-PME : 24 jours par an pour régler les démarches administratives !

    D'après un sondage Opinion Way pour Captain Contrat, les tâches et la complexité administratives sont un frein au développement pour 38% des TPE-PME. En effet, leurs dirigeants passeraient au moins deux jours par mois à gérer les complexités administratives. Faute de pouvoir réaliser les démarches facilement, ils finissent par se résigner ou prendre des risques inconsidérés. Pour répondre à leurs besoins, les TPE/PME s’orientent très majoritairement vers leur expert-comptable (68%), loin devant un avocat (30%) ou un collaborateur interne (18%). Dans 20% des cas, les dirigeants recherchent également des réponses sur internet. Dans le détail, plus de 2/3 des chefs d’entreprises (69%) perdent au minimum deux journées complètes par mois à gérer des démarches juridiques et administratives soit 24 jours par an, soit un mois ouvrable à faire sa paperasse... Et ne faire que cela... Le constat semble généralisé quel que soit le domaine de l’entreprise, sa taille ou sa situation géographique. Près de 6 TPE/PME sur 10 s’accordent sur le fait que la gestion des problématiques juridiques et administratives est une contrainte, une source de stress mais également une perte de temps et d’argent… Et 4 sur 10 sont inquiètes ou ont parfaitement conscience qu’il y a des failles dans leur gestion des relations commerciales (39%), leur gestion des ressources humaines (38%) ou leur gestion administrative (38%) … Et face à ce constat, comme le rappelle sur BFM Business, Stéphane Soumier, "La plupart des chefs d’entreprise font appel à leur expert comptable dont les compétences sont évidemment limitées, 20% des chefs d’entreprise vont chercher leurs réponses sur Internet, 18% font appel à un collaborateur interne, qui prend alors une responsabilité qui le dépasse, seuls 30% vont jusqu’à contacter un avocat, mais la démarche est jugée trop chère (55%), trop longue (47%), et la difficulté pour identifier le bon avocat est finalement aussi importante que la difficulté que pose le problème à résoudre." 📷 "Le gouvernement y a répondu en partie par le « droit à l’erreur », une sorte d’aveu d’impuissance, l’étude montre en plus qu’il faudra bientôt instaurer un « droit aux erreurs ». « Nul n’est censé ignorer la loi » dit l’adage, sauf quand manifestement, plus personne n’y comprend rien." > Méthodologie : enquête et analyse des résultats réalisées entre septembre et octobre 2018, auprès de 504 dirigeants d’entreprises de moins de 250 salariés. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de secteur d’activité, de taille salariale et de région d’implantation de l’entreprise. OpinionWay a réalisé cette enquête en appliquant les procédures et règles de la norme ISO 20252.

  • E-Commerce en France : des chiffres très encourageants

    La proportion de sites marchands rentables progresse de façon significative: alors qu'il ne dépassait pas 33% en 2017, il atteint 53% en 2018, selon l'étude annuelle publiée par la société Oxatis, en partenariat avec la Fevad et le cabinet Ernst&Young. + 10% du CA 80% des entreprises à la tête d'un site de vente et d'un magasin physique constate un impact positif sur la fréquentation dudit magasin. Un effet constaté par 79% des commerçants interrogés, tandis que 60% des PME sondées constatent une progression de leur chiffre d'affaires supérieure à 10% suite au lancement de leur plateforme en ligne. Des créations d'emplois en hausse 16% des e-commerçants ont recruté au moins un salarié au cours de l'année 2018. Un chiffre relativement stable depuis 2016 (17% alors). Au total, le secteur a généré environ 9800 emplois en 2018, sur une base de 182000 sites marchands. Revitalisation des territoires Enfin, les PME spécialisées dans la vente en ligne s'implantent de façon assez notable hors des grandes agglomérations. Ainsi, un e-commerçant sur deux est basé au sein d'une commune de moins de 20000 habitants. De plus, autre bonne nouvelle ; l’étude nous révèle que la part des sociétés de plus de cinq salariés a triplé en trois ans. Sachant qu’un e-commerçant sur deux est implanté dans des communes de moins de 20 000 habitants, ces bons chiffres pour l’emploi indiquent le fort potentiel de l’e-commerce en milieu périurbain. De cette manière, le digital pourrait même être une chance pour les PME d’inverser la tendance au déclin démographique de ces territoires et ainsi de décentraliser les hyper-centres des grandes villes.

  • La France en morceaux...

    Le baromètre 2019 des territoires est très riche en informations sur notre pays divisé : Paris contre régions, France des métropoles contre France périphérique. France urbaine contre France rurale... En toile de fond : un sentiment d’inégalité et d’injustice, et la peur du déclassement. En 20 ans, la structure sociale et spatiale de notre pays a changé, les emplois sont de plus en plus concentrés dans le coeur des métropoles alors que l’habitat, lui, s’est davantage canalisé dans le périurbain. Certains Français ont pu bénéficier de ces évolutions alors que d’autres se sont sentis mis à l’écart. Cette souffrance sociale a un impact important sur notre société. La Baromètre des Territoires 2019, mené par Elabe et l’Institut Montaigne, analyse l’impact de ces fractures sur notre cohésion sociale. 10 000 français ont été interrogés. Les conclusions de notre baromètre proposent un portrait des Français d’aujourd’hui ainsi qu’un paradoxe original : celui d’un sentiment de bonheur privé largement partagé, mais percuté par un sentiment d’inégalité et d’injustice. Ces sentiments sont également modulés par le rapport que les Français entretiennent avec leur territoire et leur mobilité, subie ou choisie. Apparaît alors l’image d’une France non pas fracturée, mais en morceaux. Premier enseignement de notre enquête, les Français évaluent positivement leur vie personnelle : 73 % des Français déclarent être heureux (dont 33 % très heureux) 67 % font le récit d’un équilibre trouvé entre temps de vie personnelle, familiale, sociale et professionnelle 61 % ont le sentiment d’avoir choisi la vie qu’ils mènent. Dans la plupart des régions, cette vision positive s’étend aussi au territoire local : 66 % trouvent qu’il fait "bon vivre" dans leur quartier ou leur commune 59 % estiment que l’endroit où ils vivent va "plutôt bien". Mais dès que l’on s’éloigne de la sphère personnelle et locale sur des thèmes qui touchent leur vie économique ou celle du pays, les traces du pessimisme se font sentir. Le bonheur privé est percuté par la crise du pouvoir d’achat et le sentiment de relégation et d’exclusion : 78 % jugent la société actuelle injuste (dont 28% très injuste) 63 % sont convaincus qu’en France la réussite sociale est jouée d’avance et dépend beaucoup des origines des gens 42 % sont convaincus que la société dans laquelle vivaient leurs parents était plus juste 48 % vivent des fins de mois difficiles dont 35 % parviennent difficilement à finir leurs fins de mois en se restreignant, et 13 % sont obligés de puiser dans leurs réserves ou d’emprunter... Et avec cette crise : 47 % des Français seulement sont optimistes pour leur avenir personnel 45 % pensent que quand leurs enfants auront leur âge, ils vivront moins bien qu’eux 70 % sont pessimistes sur l’avenir de la société française (dont 26 % très pessimistes). Plus d'info ICI

  • Digitalisation : TPE et PME très en retard en France

    En octobre 2018, Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au Numérique, lançait le portail France Num, une plateforme d’accompagnement pour la transition numérique des entreprises. FrenchWeb a consulté les pages de ce site gouvernemental et "on mesure combien le retard des TPE et PME françaises est abyssal." Paralèllement "Adopte le Digital" a lancé (le 14 janvier dernier) sa première tournée de sensibilisation au numérique en Auvergne-Rhône-Alpes. Cette initiative a été lancée par Lalée Pinoncély, sa fondatrice. L'entrepreneuse a fait le choix d'un bus pour aller à la rencontre de dirigeants de TPE et PME. De grands groupes, tels que Facebook ou Allianz, sont partenaires de cette initiative gratuite et originale. 76% des entreprises interrogées ont un site Web et 74% assurent une présence sur les réseaux sociaux. Or, seules 11% utilisent des outils numériques au quotidien. Avec des initiatives dispersées, moins de 5% de l’activité des TPE/PME est issue du digital. En effet, pour beaucoup de dirigeants, la digitalisation de leur entreprise se résume à de la présence en ligne. Trop peu imaginent les possibilités de croissance, les leviers de développement pour leur business. Rares sont ceux aussi qui prennent la mesure des risques liés à la sécurité des données. Cette immaturité numérique touche particulièrement les petites structures. En France, on estime en effet que 81% des ETI ont engagé leur transformation digitale. Et elles constatent déjà les bénéfices de cette transition: 76% citent une plus grande efficacité opérationnelle (réduction des coûts, fiabilité des opérations, réduction des délais). 72% indiquent une meilleure compétitivité face à la concurrence et aux nouveaux comportements d’achat. Un modèle que les PME et TPE ne prennent pas encore en exemple. Partout dans le monde, on observe une mutation profonde des comportements. La France, avec 37,5 millions d’acheteurs en ligne, soit 85% des internautes, ne fait pas exception. Or, selon un sondage Médiamétrie pour la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) si on recense 182 000 sites e-commerce actifs à ce jour, 87% du chiffre d’affaires généré par le secteur est réalisé par 5% des sites marchands, qui trustent le marché. Alors que beaucoup de PME accusent déjà un retard significatif face à la concentration des géants du numérique, les habitudes d’achat continuent de progresser. [...] Les freins demeurent nombreux. Manque de temps, de moyens, méfiance face au changement. Et surtout, méconnaissance des technologies disponibles, encore perçues comme complexes. Ce qui pousse les petites structures à s’orienter vers des solutions inadaptées, trop chères, difficiles à installer. Alors, comment passer de la théorie à l’action? Concrètement, comment entamer la transition numérique dans une (très) petite ou une moyenne entreprise? Avant tout, en s’entourant de professionnels, spécialistes de la transformation, à l’intérieur et à l’extérieur. Autrement dit, en passant par le recrutement et en sollicitant les services d’une société dédiée à cet accompagnement. Une stratégie qui demande un investissement, c’est certain, mais qui s’avère rentable très rapidement, avec des résultats visibles sur les ventes et relations clients. [...] Ensuite, il faut évidemment s’intéresser aux outils digitaux existants. Et poser les bonnes questions: répondent-ils aux besoins de l’activité de l’entreprise? Prennent-ils compte des spécificités de son secteur? De sa culture interne? Et surtout, suffisent-ils à soutenir les ventes? Permettent-ils de garder le contact avec les prospects et les clients? De générer de nouveaux leads? À partir de ce constat, il devient plus simple de construire une solution sur-mesure depuis un service SaaS orienté vers les besoins spécifiques de l’organisation. En intégrant la digitalisation dans les objectifs stratégiques, les TPE et les PME assurent la pénétration des nouveaux outils à tous les niveaux, dans tous les process.

  • Des millions... par centaines...

    Depuis quelques jours, FrenchWeb et Numerama annonce des levées de fonds (ou investissements) spectaculaires dans le monde. Plusieurs centaines de millions d'euros ... Rapide tour d'horizon ... 730 millions d'euros L’opérateur de télécommunications japonais KDDI  a annoncé mardi un investissement de 91,4 milliards de yens (730 millions d’euros) dans une société de courtage en ligne actuellement gérée par le groupe bancaire Mitsubishi UFJ Financial Group. KDDI, qui est entré il y a plusieurs années déjà dans le marché des services financiers en ligne, va prendre 49% de Kabu via une offre d’achat. Aux côtés d’autres actionnaires, Mitsubishi UFJ va y répondre en partie en réduisant sa part à 51% contre 59%. 500 millions de dollars La start-up californienne Door Dash spécialisée dans la livraison de repas, est en passe de boucler un tour de table de 500 millions de dollars, selon le Wall Street Journal. Si l’opération se confirme, elle porterait la valorisation de la licorne américaine au-delà des 6 milliards de dollars, voire à hauteur de 7 milliards de dollars. 335 millions de dollars La start-up américaine Lime, qui développe un service de trottinettes électriques en free-floating, a bouclé un nouveau tour de table de 310 millions de dollars mené par Bain Capital Ventures, Andreessen Horowitz, Fidelity Ventures, GV (ex-Googles Ventures) et IVP. Alors que la société était devenue une licorne à l’été dernier à l’occasion d’un tour de table de 335 millions de dollars réalisé auprès d’Uber et de Google. Avec cette nouvelle opération, la valorisation de la licorne californienne s’élève désormais à 2,4 milliards de dollars. 300 millions de dollars (à lire dans Numerama) Reddit a accueilli un nouveau partenaire : le géant chinois Tencent, dont l'investissement s'élève à 150 millions de dollars. Une nouvelle qui fait craindre la censure aux internautes. Reddit a atteint une valeur de 3 milliards de dollars grâce à un lot de nouveaux investisseurs ayant apporté 300 millions de dollars. Parmi eux, l’entreprise chinoise Tencent Holdings, qui est à l’origine de la moitié des nouveaux fonds. Une nouvelle qui ne fait pas que des heureux puisqu’une vaste levée de boucliers a été lancée par les internautes du site communautaire. Le « soulèvement » consiste avant tout à diffuser deux images : celle de Winnie L’Ourson, personnage banni en Chine à cause des moqueries concernant sa ressemblance avec le président Xi Jinping, et celle du « Tank Man ». 226 millions de dollars Zilingo, startup spécialisée dans la mode active en Asie du Sud-Est, a levé 226 millions de dollars dans un tour de table de série D financé par les investisseurs historiques Sequoia Capital, Burda Principal Investments et Sofina. Les fonds souverains singapouriens Temasek Holdings et EDBI ont également participé au financement de Zilingo. L’entreprise a désormais levé un total de 308 millions de dollars depuis son lancement en 2015.

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